https://www.facebook.com/antifurcoalition
https://www.facebook.com/antifurcoalition
https://www.hsi.org/news-media/italy-extends-mink-fur-farming-ban-in-response-to-covid-19/
Traduction :
Campagne Mode Sans Animaux https://societe-anti-fourrure.blogspot.com/2019/09/campagne-mode-sans-animaux.html
Marque de la semaine : le site Etsy.Le site Etsy rempli de fourrures animales (Chine et Finlande) dont le service client nous répond un tissu de mauvaise foi, se dédouanant de ne pas proposer de fourrure d'animaux protégé par la CITES (encore heureux !). Surtout, si vous recevez la même réponse toute faite répondez en montrant que vous n’êtes pas dupe, les renards, chiens viverrins, lapins, visons vivent un véritable enfer en élevage, pour finir par être dépecés encore ou pleinement conscients.On ne réglemente pas la torture, on l'abolit !Maintenons la pression afin que ce site cesse la vraie fourrure, une bonne fois pour toutes.Vous pouvez aussi préciser que cette mode cruelle et dépassée contribue aux pandémies, dans ces élevages où la saleté, et les gênes pathogènes pullulent. En bas de post, vidéos d’élevage Finlandais, et chinois (à transmettre si vous souhaitez).Merci à tous.
Finlande :
https://twitter.com/oikeuttaelaimil/status/1298296536846209027
Chine :
https://www.youtube.com/watch?v=jNZntyp3bqE
Campagne Mode Sans Animaux : Victoire avec la marque Un Jour Ailleurs !
Nous écrivions à cette marque depuis quelques années, afin d'en finir avec la fourrure animale.
A présent Un Jour Ailleurs ne propose plus
de vraie fourrure, ni de cuir ! La collection automne hiver 2020/21 ne
contenant plus de fourrure animale, nous avons communiqué par téléphone
avec M.Fhima Alain, dirigeant de la marque, qui a confirmé cet
engagement. Un jour Ailleurs a fusionné depuis peu avec la marque
Antonelle, qui elle aussi nous a transmis en septembre dernier son
engagement contre la vraie fourrure. Attention, il se peut pour la
prochaine collection automne hiver de UJA que certains anciens modèles
avec du cuir soient écoulés, pour ne plus en proposer ensuite. Nous vous remercions d'avoir participé à
notre campagne en contactant cette marque !
Afin de féliciter Un Jour Ailleurs (en effet, trop de marques s'évertuent à continuer le cuir animal) pour son éthique :
serviceclient@unjourailleurs.
https://www.unjourailleurs.com/fr/contacts
Traduction :
Avez-vous déjà regardé dans les yeux un animal terrifié confiné dans une minuscule cage métallique, attendant de mourir? Moi oui. En 2019, je suis allé sous couverture avec l'association caritative animale Humane Society International / UK pour dénoncer la cruauté des fermes à fourrure en Finlande. Rien n’aurait pu me préparer aux souffrances dont j’ai été témoin. C'était bien pire que ce que j'avais imaginé! Nous avons trouvé de minuscules renards qui luttaient pour marcher sur le sol des cages en treillis métallique, des visons morts et des animaux souffrant de blessures non traitées, y compris un vison vivant dont la tête avait été partiellement cannibalisée par des compagnons de cage. C'était absolument écœurant.Le Royaume-Uni a interdit l'élevage d'animaux à fourrure il y a deux décennies et a ordonné aux fermes d'élevage de fermer leurs portes en 2003. C'était une grande réussite. Mais depuis lors, le Royaume-Uni a continué d'importer et de vendre de la fourrure provenant d'élevages à fourrure dans d'autres pays, comme la Finlande que j'ai visitée. Je pense que s'il est trop cruel de produire de la fourrure au Royaume-Uni, il est trop cruel de la vendre ici aussi. Je ne crois vraiment pas que quiconque a vu l’état de ces pauvres animaux - terrifiés et pris au piège dans de minuscules cages - porterait à nouveau de la fourrure. Je soutiens donc pleinement la campagne #FurFreeBritain de HSI / UK et je demande à nos politiciens de prendre position contre la cruauté envers la fourrure en interdisant sa vente. PASSER À L'ACTION! Veuillez signer cette pétition et aider à exhorter le gouvernement britannique à mettre en œuvre une interdiction de vente de fourrures au Royaume-Uni !
Les militants anglais ont repris leur campagne afin de remettre la pression a leur gouvernement.
Pression sur le gouvernement pour un Royaume-Uni sans fourrure :
Traduction :
Concernant l'interdiction des élevages de visons en France :
nous avons demandé que le délai de transition de cinq ans soit réduit à deux ans, ce qui a été décidé le 29 janvier dernier à l'Assemblé Nationale.
Toutefois, cela doit encore être corroboré par les Sénateurs, nous sommes donc dans l'attente d'une réponse définitive, qui peut prendre plusieurs mois.
D'autres nouvelles lois ont été votées, comme des sanctions plus sévères contre la maltraitance des animaux domestiques, l'interdiction de détenir des ours et des loups en vue de les présenter au public à l’occasion de spectacles itinérants (réduite à deux ans), etc....lire la suite :
https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/dossiers/alt/maltraitance_animale
Vidéo (Canada) renards sauvés d'élevages à fourrure, un autre d'un piège.....magnifique ! Images des sordides élevages en Chine, fourrure que certaines marques s'évertuent à proposer...
Quelques extraits de cet article, édifiant, quand on aura enfin admis que les élevages d'animaux pour leur fourrure (et pas seulement) sont un réservoir à virus, combien d’animaux et d'humains encore auront succombé ? :
....la thèse du pangolin a été rapidement écartée, le virus retrouvé
sur ces animaux présentant des divergences par rapport à celui
trouvé sur les malades du Covid. C’est plutôt du côté des élevages
intensifs d’animaux à fourrure que plusieurs chercheurs se
tournent aujourd’hui
Reste qu’« il est très important qu’une telle investigation ait lieu, nous explique Conrad Freuling, un chercheur allemand qui mène actuellement des études sur les chiens viverrins, autre animal de fourrure qui pourrait être impliqué dans la chaîne des contaminations. Sinon l’on ne pourra pas empêcher de prochaines épidémies. »
Autre fait intrigant : alors qu’en 2002-2003, lors de la première épidémie de Sras, la recherche scientifique chinoise se tourne vers les animaux d’élevage, que la civette palmée est identifiée comme hôte intermédiaire et que des traces du virus sont également retrouvées chez le chien viverrin
de plus en plus de pays interdisent ces fermes d’animaux à fourrure, comme le Royaume-Uni, l’Autriche, l’Allemagne, la Croatie, la Norvège, la République tchèque, le Luxembourg et la Belgique –, les élevages chinois ne semblent respecter aucune norme. Maltraitance animale, pollution environnementale, absence de règles sanitaires pour les travailleurs, cannibalisme entre animaux, dépouilles laissées à l’abandon, etc. : d’après ACTAsia, cette production de fourrures fait fi de toutes les règles élémentaires d’hygiène.
C’est aussi ce que racontait en 2015 une enquête publiée dans le journal britannique Daily Mail, à propos des chiens viverrins. Des activistes avaient alors pu pénétrer dans un élevage chinois et filmer des animaux immobilisés dans des cages minuscules collées les unes aux autres, victimes de toutes sortes d’actes de maltraitance. Là aussi, des bêtes mortes leur étaient servies comme nourriture.
Outre l’étude néerlandaise citée plus haut, une expérimentation allemande, menée à l’Institut Friedrich-Loeffler, sur les bords de la Baltique, a voulu tester la susceptibilité des chiens viverrins à une infection expérimentale du SARS-CoV-2. Leurs conclusions, publiées le mois dernier par Emerging Infectious Diseases, montrent que des animaux sains peuvent être contaminés au contact d’animaux auxquels on a préalablement inoculé le virus, et que tous ces animaux infectés présentent très peu de signes cliniques, ce qui fait d’eux des porteurs sains non détectables. « Nos résultats indiquent que des fermes affectées pourraient être des réservoirs de SARS-CoV-2 », écrivent les auteurs.
Contacté par Mediapart, Conrad Freuling, qui a conduit cette étude, précise : « Notre expérimentation montre que le chien viverrin est réceptif au SARS-CoV-2, qu’il peut abriter le virus en grande quantité, et qu’il peut infecter les autres animaux d’un même élevage. »
La Chine est un poids lourd de la production de fourrures mondiale.
Selon les dernières données disponibles de la Fédération internationale
de la fourrure, qui datent de 2014, la Chine produisait annuellement 35
millions de peaux de visons, sur les 87 millions à l’échelle mondiale.
Une estimation qui passe du simple au double, selon l’Association de
l’industrie du cuir de Chine, qui comptait en 2014 60 millions de
visons, 13 millions de renards (soit six fois la production européenne)
et 14 millions de chiens viverrins (99 % de la production mondiale).
Précédents coronavirus : l’hôte intermédiaire était un animal d’élevage
Dans son rapport « Le Commerce de la fourrure en Chine » publié en 2019,
l’ONG ACTAsia explique que cette industrie de la fourrure est en pleine
expansion depuis les années 1980-1990. Elle a connu une chute en 2016,
mais s’est rétablie ensuite. À l’inverse de la tendance en Europe – où
de plus en plus de pays interdisent ces fermes d’animaux à fourrure,
comme le Royaume-Uni, l’Autriche, l’Allemagne, la Croatie, la Norvège,
la République tchèque, le Luxembourg et la Belgique –, les élevages
chinois ne semblent respecter aucune norme. Maltraitance animale,
pollution environnementale, absence de règles sanitaires pour les
travailleurs, cannibalisme entre animaux, dépouilles laissées à
l’abandon, etc. : d’après ACTAsia, cette production de fourrures fait fi
de toutes les règles élémentaires d’hygiène...: