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abien 25 oct. 2023, 15:54 UTC+2 Bonjour, Nous
voudrions savoir si vous ne ferez plus de
vraie fourrure à Cordialement. Daniel
Val Vice Président Association Société Anti Fourrure Nos victoires contre la fourrure : https://societe-anti-fourrure.blogspot.fr/2016/03/recapitulatif-des-victoires-du.html |
Date : | Thu, 26 Oct 2023 10:58:17 +0000 |
---|---|
De : | Claude (Max & Moi Service Client) <support@maxemoi.com> |
Répondre à : | Max & Moi Service Client <support@maxemoi.com> |
Pour : | abien <abien@vu.cx> |
Nous souhaiterions savoir si la prochaine collection automne-hiver (2023/24) de Max et Moi sera exempte de fourrure animale.
Dans l'attente de votre réponse, nous vous remercions d'avance.
Sincèrement.
Stéphanie Rossenu Présidente
Association Société Anti Fourrure
Nos victoires contre la fourrure :
https://societe-anti-fourrure.
https://www.facebook.com/
@SocAntiFourrure
| mar. 8 août 11:42 | ||
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Stéphanie Rossenu Présidente
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@SocAntiFourrure
| mar. 3 janv. 17:45 | ||
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Stéphanie Rossenu Présidente
Nos victoires contre la fourrure :
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@SocAntiFourrure
| mer. 22 févr. 17:54 | ||
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Madame, Monsieur,
La fourrure végétale est la meilleure alternative à la fourrure animale : en fibres de chanvre mélangées avec de la viscose de pulpe de bois, à la fois éthique et écologique.La plupart des manteaux en fausse fourrure sont en polyester, matière artificielle synthétique dérivée du pétrole.Le polyester, bien qu’il ne soit pas biodégradable, est recyclable à l’infini. Ce procédé de recyclage permet de recréer du polyester en utilisant moitié moins d’énergie que pour une création nouvelle et génère près de 80 % d’émissions en moins.Cette matière reste moins polluante que la vraie fourrure
Le cuir animal n'est
absolument pas écologique. Les animaux utilisés dans l’industrie du cuir
émettent près de 15 % des émissions de méthane au monde, et ce gaz
hautement inflammable produit un effet de serre 20 fois supérieur au
CO2.Un milliard d’animaux sont abattus chaque année pour leur peau, et
toutes les parties de la peau n'étant pas exploitables, la fabrication
du cuir est un procédé textile produisant un gigantesque, et démesuré
gâchis.
Son procédé chimique de fabrication, le tannage, est aussi
extrêmement nocif et dangereux pour l’environnement. 85% est constitué
de chrome, dans les les produits chimiques utilisés, élément est toxique
pour l’homme et l’environnement.
De plus, le tannage est souvent
réalisé dans des pays qui possèdent peut de normes environnementales,
avec de réels problèmes sanitaires (Asie).A l'instar de la fourrure en
Chine, où le seuil de produits chimiques n'est jamais respecté.
L'impact
de la production de cuir végan peut être jusqu'à un tiers inférieur à
celui du cuir animal (outre les produits chimiques utilisés en très
grande quantité pour le tannage, l'industrie d'élevage est extrêmement
polluante).
La meilleure alternative végane hautement durable est
alors le cuir végétal, comme le cuir d'ananas, appelé Pinatex fabriqué à
partir de feuilles d’ananas, ressemblant beaucoup à du cuir. Elle
utilise ainsi 40 000 tonnes de feuilles qui autrement auraient été jetés
ou brûlées.Cette fabrication n'a pas besoin d’utiliser de l’eau, des
pesticides ou des fertilisants. Aucun produit chimique n'est nécessaire
pour la transformation des fibres en tissu, pouvant être teint.
Le
cuir de champignon (Mylo) est un matériau souple ressemblant à du cuir,
fabriqué à partir du mycélium. Sa production ne prend que quelques
jours,au contraire de la quantité infinie de travail et d'énergie
nécessaire pour produire du cuir animal. Et c'est un matériau totalement
non toxique et biodégradable, durable, et imperméable.
Enfin, le
cuir de pomme est 100% biodégradable, produit à partir des restes de
pommes récoltées, est une matière très douce se rapprochant du cuir
animal.
Le duvet vient d'une industrie où les oiseaux (oies,
canards)sont entassés en très grand nombre dans des exploitations où le
plumages à vif leur laissera des blessures (ailes,cassées...)avant
d'être envoyés en abattoir où ils seront égorgés et plongés dans l'eau
bouillante, pour leur chair.Le kapok, est une bonne alternative aux
plumes d’oie.La fibre de kapok est respectueuse de l'environnement, mais
offre aussi de nombreux avantages : elle retient jusqu'à 80 % d'air, ce
qui donne au matériau de bonnes capacités isolantes, elle est de plus
hygroscopique, et présente donc des propriétés antibactériennes
naturelles.
Un grand nombre de clientes étant contre la fourrure
animale, ainsi que contre le cuir animal et le duvet, pour certaines,
nous contactent concernant votre marque, afin de vous convaincre d'en
finir avec ces matières cruelles et polluantes.
Dans l'attente de votre réponse, nous vous remercions par avance.
Sincèrement.
Stéphanie Rossenu Présidente
Nos victoires contre la fourrure :
https://societe-anti-fourrure.
| lun. 3 oct. 2022 18:37 | ||
|
".....de plus en plus de pays interdisent ces fermes d’animaux à fourrure, comme le Royaume-Uni, l’Autriche, l’Allemagne, la Croatie, la Norvège, la République tchèque, le Luxembourg et la Belgique –, les élevages chinois ne semblent respecter aucune norme. Maltraitance animale, pollution environnementale, absence de règles sanitaires pour les travailleurs, cannibalisme entre animaux, dépouilles laissées à l’abandon, etc. : d’après ACTAsia, cette production de fourrures fait fi de toutes les règles élémentaires d’hygiène.
C’est aussi ce que racontait en 2015 une enquête publiée dans le journal britannique Daily Mail, à propos des chiens viverrins. Des activistes avaient alors pu pénétrer dans un élevage chinois et filmer des animaux immobilisés dans des cages minuscules collées les unes aux autres, victimes de toutes sortes d’actes de maltraitance. Là aussi, des bêtes mortes leur étaient servies comme nourriture.
Outre l’étude néerlandaise citée plus haut, une expérimentation allemande, menée à l’Institut Friedrich-Loeffler, sur les bords de la Baltique, a voulu tester la susceptibilité des chiens viverrins à une infection expérimentale du SARS-CoV-2. Leurs conclusions, publiées le mois dernier par Emerging Infectious Diseases, montrent que des animaux sains peuvent être contaminés au contact d’animaux auxquels on a préalablement inoculé le virus, et que tous ces animaux infectés présentent très peu de signes cliniques, ce qui fait d’eux des porteurs sains non détectables. « Nos résultats indiquent que des fermes affectées pourraient être des réservoirs de SARS-CoV-2 », écrivent les auteurs.
Contacté par Mediapart, Conrad Freuling, qui a conduit cette
étude, précise : « Notre expérimentation montre que le chien
viverrin est réceptif au SARS-CoV-2, qu’il peut abriter le virus
en grande quantité, et qu’il peut infecter les autres animaux d’un
même élevage. "
Nous vous demandons d'en finir une fois pour toutes avec la fourrure animale, d'où qu'elle vienne.Vous contribuez en effet aux pandémies, en plus de cautionner d'abjectes pratiques.
Dans l'attente de votre réponse, nous vous remercions par avance.
Sincèrement.
Stéphanie Rossenu Présidente
Association Société Anti Fourrure
http://societe-anti-fourrure.
https://www.facebook.com/
@SocAntiFourrure
| lun. 25 janv. 2021 18:34 | ||
|
Madame, Monsieur,
Nous constatons avec désarroi que votre marque continue la fourrure animale, à l'instar de nombreuses clientes choquées.
Ces garnitures en
fourrure viennent d'élevages chinois, enfers sur terre pour les
chiens viverrins, renards (dépecés conscients) et visons.Et
quelle que soit sa provenance, la fourrure n'est jamais exempte
de souffrances.De surcroît, la pollution découlant de ces
mouroirs n'est plus à prouver, et ce sont les marques en
occident les plus responsables de ce massacre.
Les fermes à fourrure
sales, remplies d'animaux malades, stressés et blessés sont des
terrains propices à la maladie, et des installations aux
Pays-Bas, en Espagne et au Danemark ont connu des épidémies de
COVID-19. La situation est devenue si désastreuse que le
Parlement néerlandais a voté cette année la fermeture des
dernières fermes à fourrure du pays.
Lors de la première partie du 6e Forum Compassion in Fashion d'ACTAsia à Shanghai, 12 orateurs éminents ont apporté de l'espoir à un public à la recherche d'une innovation de style qui ne coûtera pas à l'avenir de notre planète :
https://www.actasia.org/news/Produire 1 kilogramme
de fourrure a un facteur équivalent en dioxyde de carbone (CO 2)
d'environ 130 à 140 kilogrammes, contre environ 6 à 7
kilogrammes de CO 2 pour 1 kilogramme de fausse fourrure.Ces
exploitations détenant des milliers d’animaux sont une abîme de
dépenses et d'énergie.Cette industrie représente un danger au
sens large pour l'environnement, avec les menaces de pollution
des eaux potables, des nappes phréatiques, notamment du fait des
déjections animales sans parler des produits phytosanitaires
utilisés pour la désinfection et désinsectisation, utiliser pour
contrer les parasites qui bien sûr, pullulent dans ce genre
d'exploitation. La seule transformation de la fourrure pollue
l'environnement mais met également en péril la vie aquatique. La
mauvaise gestion des déchets peut aussi entrainer une
contamination de l'eau. Le risque de pollution des eaux
souterraines, du sol, de l'air, l'empreinte carbone liés au
transport des aliments, des cadavres, de lisiers, et l'eau
propre utilisés dans toutes les fermes à fourrure sont une
aberration. Avec le risque de grandes périodes de sécheresse à
venir, la paille et l'eau sont des denrées et ressources )
préserver pour les besoins vitaux.
Société Anti Fourrure en une décennie est parvenu à convaincre près de 25 marques et enseignes d'en finir avec la fourrure animale :
https://societe-anti-fourrure.
Le cuir est également cruel et polluant : Ces animaux destinés à la consommation humaine (vaches, veaux, moutons, agneaux) subissent d'effroyables traitements, tués sans étourdissement, et se vident de leur sang.
Le duvet, matière provenant principalement de Chine est aussi à bannir : les canards et les oies sont plumés à vif jusqu'à la racine, et subissent des blessures (pattes, ailes cassées).
La pollution découlant de ces
matières animales n'a plus sa place aujourd'hui.Les tanneries de cuir, matière
importée d'Asie (Inde principalement) rejettent leurs eaux
polluées de produits toxiques comme le chlore, dans les
fleuves et ruisseaux.Comme dans les élevages à fourrure, industrie qui pèse lourdement en
termes d'émissions de C02. le chrome et le formaldéhyde,
toxique et cancérigène sont utilisés pour empêcher la
putréfaction naturelle d'une matière organique morte, et
leur seuil est souvent largement dépassé, comme en Chine.
Des alternatives durables existent, consultez Notre Campagne Mode Sans Animaux :
https://societe-anti-fourrure.
Nous vous demandons de mettre un terme aux peaux animales. Nous vous remercions par avance de la réponse que vous nous apporterez, avec l'espoir que vous prendrez conscience des souffrances animales et planétaires.
Stéphanie Rossenu Présidente
Association Société Anti Fourrure
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@SocAntiFourrure
Madame, Monsieur,
Nous constatons avec désarroi que votre marque continue la fourrure animale, à l'instar de nombreuses clientes choquées.
Ces garnitures en
fourrure viennent d'élevages chinois, enfers sur terre pour les
chiens viverrins, renards (dépecés conscients) et visons.Et
quelle que soit sa provenance, la fourrure n'est jamais exempte
de souffrances.De surcroît, la pollution découlant de ces
mouroirs n'est plus à prouver, et ce sont les marques en
occident les plus responsables de ce massacre.
Les fermes à fourrure
sales, remplies d'animaux malades, stressés et blessés sont des
terrains propices à la maladie, et des installations aux
Pays-Bas, en Espagne et au Danemark ont connu des épidémies de
COVID-19. La situation est devenue si désastreuse que le
Parlement néerlandais a voté cette année la fermeture des
dernières fermes à fourrure du pays.
Lors de la première partie du 6e Forum Compassion in Fashion d'ACTAsia à Shanghai, 12 orateurs éminents ont apporté de l'espoir à un public à la recherche d'une innovation de style qui ne coûtera pas à l'avenir de notre planète :
https://www.actasia.org/news/Produire 1 kilogramme
de fourrure a un facteur équivalent en dioxyde de carbone (CO 2)
d'environ 130 à 140 kilogrammes, contre environ 6 à 7
kilogrammes de CO 2 pour 1 kilogramme de fausse fourrure.Ces
exploitations détenant des milliers d’animaux sont une abîme de
dépenses et d'énergie.Cette industrie représente un danger au
sens large pour l'environnement, avec les menaces de pollution
des eaux potables, des nappes phréatiques, notamment du fait des
déjections animales sans parler des produits phytosanitaires
utilisés pour la désinfection et désinsectisation, utiliser pour
contrer les parasites qui bien sûr, pullulent dans ce genre
d'exploitation. La seule transformation de la fourrure pollue
l'environnement mais met également en péril la vie aquatique. La
mauvaise gestion des déchets peut aussi entrainer une
contamination de l'eau. Le risque de pollution des eaux
souterraines, du sol, de l'air, l'empreinte carbone liés au
transport des aliments, des cadavres, de lisiers, et l'eau
propre utilisés dans toutes les fermes à fourrure sont une
aberration. Avec le risque de grandes périodes de sécheresse à
venir, la paille et l'eau sont des denrées et ressources )
préserver pour les besoins vitaux.
Société Anti Fourrure en une décennie est parvenu à convaincre près de 25 marques et enseignes d'en finir avec la fourrure animale :
https://societe-anti-fourrure.
Le cuir est également cruel et polluant : Ces animaux destinés à la consommation humaine (vaches, veaux, moutons, agneaux) subissent d'effroyables traitements, tués sans étourdissement, et se vident de leur sang.
Le duvet, matière provenant principalement de Chine est aussi à bannir : les canards et les oies sont plumés à vif jusqu'à la racine, et subissent des blessures (pattes, ailes cassées).
La pollution découlant de ces
matières animales n'a plus sa place aujourd'hui.Les tanneries de cuir, matière
importée d'Asie (Inde principalement) rejettent leurs eaux
polluées de produits toxiques comme le chlore, dans les
fleuves et ruisseaux.Comme dans les élevages à fourrure, industrie qui pèse lourdement en
termes d'émissions de C02. le chrome et le formaldéhyde,
toxique et cancérigène sont utilisés pour empêcher la
putréfaction naturelle d'une matière organique morte, et
leur seuil est souvent largement dépassé, comme en Chine.
Des alternatives durables existent, consultez Notre Campagne Mode Sans Animaux :
https://societe-anti-fourrure.
Nous vous demandons de mettre un terme aux peaux animales. Nous vous remercions par avance de la réponse que vous nous apporterez, avec l'espoir que vous prendrez conscience des souffrances animales et planétaires.
Stéphanie Rossenu Présidente
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| 9 sept. 2020 17:38 | ||
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