dimanche 21 janvier 2018

Les News de la Renarde : compte rendu tractage anti fourrure samedi 20 janvier Paris.





Encore beaucoup de vêtements à garnitures en fourrure animale, sans aucune mention le précisant, en cette journée pluvieuse.


Ces garnitures vendues en France à 59% ne mentionnent pas "Fourrure animale", ou bien l'étiquette indique "Raccoon" (raton laveur) alors qu'il s'agit en réalité de chien viverrin "Raccoon dog" :

https://societe-anti-fourrure.blogspot.fr/2017/10/resultat-de-la-conference-au-parlement.html

Quelques exemples de réactions du public :

Un couple, très réceptif avec un enfant dont la capuche était  en vraie fourrure (sans mention donc).Nous leur avons expliqué les dangers pour la santé humaine de ces garnitures toxiques (surtout pour les enfants).

Un jeune homme avec capuche qu'il pensait être en fausse fourrure, puisque l'étiquette indiquait 100 % polyester a voulu s'informer afin de bien reconnaître la vraie fourrure de la fausse.

Plusieurs personnes (à des endroits différents) se sont montrées intéressées, ont posé des questions :

"Mais au prix peu élevé que je l'ai payé....je pensais que c'était de la fausse...".
Réponse/explications : ces vêtements avec garnitures (cols et capuches) valent
bien souvent moins de 30 eur car importées de Chien par les marques
Ou encore :
"Mais les vendeurs m'ont dit que c'était de la fausse"....Là encore attention ! Car ces vendeurs ne font que répéter ce que leur demandent les dirigeants de la marque, qui eux ont plutôt intérêt à taire la réalité, pour mieux vendre.

Des remerciements aussi, comme avec ce jeune homme dont le regard en disait long lorsqu'on lui a dit que les animaux sont dépecés vivants (soit au moins deux pour une seule capuche) pour ces inutiles garnitures.

Tous ont accepté le tract.

Réaction négative d'un couple (elle portait une capuche), l'homme au fort accent québécois a renchérit de manière réductrice "et l'arbre pour votre tract ?". Sophisme de sa part, ce à quoi nous avons répondu :"Il s'agit là de près de 4 animaux par seconde dans le monde qui succombent torturés pour leur fourrure". Il aurait fallut avoir le réflexe de lui dire aussi que si il est omnivore, manger sa viande revient à manger la forêt (déforestation pour parquer et nourrir les animaux destinés à la consommation humaine, soit environ 70 % des terres agricoles du Brésil).

«Le monde est dangereux à vivre non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire », Albert Einstein.





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