Malgré un début de fraicheur, seulement deux passantes durant ces
quelques heures, avec capuche en vraie fourrure.Un tract leur a bien sûr
été donné, bien qu'elles semblaient pressée, elles l'ont pris avec
intérêt.
Nos tracts ont fait mouche, et notamment auprès de pas mal de jeunes :
Fourrure (SAF)
Peaux animales (SAF)
Véganisme (SAF et International Campaigns https://international-campaigns.org/mois-mondial-vegan/)
Vivisection (IC)
Journée Internationale pour les Droits des Animaux (IC)
ces jeunes étaient ouverts et très intéressés, une belle sensibilisation en a découlé.
Les menus de fêtes ont eu beaucoup de succès, en outre auprès de personnes plus âgées.
Des gens plutôt ignares à propos du véganisme, ont discuté un moment avec l'un d'entre nous qui avait cessé la consommation de viande il y a près de trente ans. Ils n'en revenaient pas d'une si bonne santé, comme quoi il reste encore des individus qui pensent qu'on ne peut vivre ainsi : sans aucun produit d'origine animale et de longue date.
Un ami venu nous prêté main fort a témoigné ne plus avoir de problèmes articulaires depuis qu'il a cessé la viande et les produits laitiers, avec de plus un diabète stabilisé à présent. A ceux qui se montraient réfractaire à la prise de conscience des souffrances sans nom des animaux, il a cité ces abjectes conditions de vie et de mort, inacceptables aux yeux de tous ayant un minimum de compassion en eux. La plupart ont compris l'importance d'en finir, après discussion, comme cette dame qui consomme de moins en moins de produits carnés, ainsi qu'un homme septuagénaire, horrifié par les images de dénonciation des coulisses des abattoirs.
Un couple de retraités est resté longuement, de mauvaise foi et/ou
ignorant au départ, avec vision réductrice : "Mais si on ne les tue plus
pour les manger il n'y aura plus d'animaux !" est reparti avec tracts
et menus de fêtes végans.Réponse : "Ce que vous ne voulez pas
comprendre, c'est que si nous cessions d'élever, d'exploiter et de
massacrer par million ces animaux, ils se réguleraient d'eux mêmes, donc
si, nous aurions toujours des vaches, des cochons, etc...mais pas sous
l'emprise de l'homme ".
Une dame est alors intervenue en soutien à ces êtres sentients, précisant l'importance de ne plus les manger.
Une jeune femme végane est restée un moment pour discuter, nous félicitant.
Enfin un homme bavard, désagréable et sûr de lui avait décidé de nous raconter combien de grammes de fromage et de viande il mange chaque jour, durant un (trop) long moment.Nous avons dû l'évincer, puisqu'il ne voulait rien entendre.
Sensibiliser le public dans la rue au moins durant le mois de novembre, dédié au véganisme, est primordial, au nom des ANIMAUX.Même si l'on sait que cela n'aura pas été efficace auprès de tous.
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