lundi 13 février 2023

Compte rendu tractage anti fourrure Perpignan

 


Encore pas mal de personnes sensibilisées, entre autres :

en magasin bio, les personnes avec capuches en vraie fourrure acceptent le tract après une petite discussion (2 chiens viverrins ou 2 renards dépecés encore conscients pour une seule capuche, étiquetages mensongers des anciens modèles).

Seule une femme d'un certain âge avec une veste d'où pendaient plusieurs parties de fourrure de renard (on aurait dit des queues) : "Ah oui et alors ? Et les lapins, on les mange bien ! ".

Réponse : "Vous, peut-être, et vous mangez aussi du renard, et du chien viverrin ?"

"Et le cuir, c'est pas pareil peut-être ?"

Réponse : "Pas tout à fait Madame, ils ne sont pas dépecés vivant, mais là où "c'est pareil", c'est la maltraitance dont ils sont victimes, afin de finir dans les assiettes, après que l'on ait récupéré leur peau pour le cuir".

N'a plus rétorquée ensuite.

Le meilleur : des jeunes devant un lycée, avec vêtement/capuche, ont tous bien réagit et pris le tract, après explications : animaux torturés pour d'inutiles capuches, orchestrées par l'industrie de la fourrure animale, de surcroît une des cinq plus polluantes au monde (métaux lourds). Sourire engageant suite à cette parole : "Vous êtes l'avenir, on compte sur vous".

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