vendredi 18 octobre 2019

La fourrure en Chine :

Actasia : https://www.actasia.org/


La fourrure en Chine :

Aidez la génération Chinoise à comprendre que la fourrure est cruelle.


Réduire la rentabilité en réduisant la demande :

Le mouvement sans fourrure progresse bien dans la lutte contre la vraie fourrure en Europe et aux États-Unis. Des normes de bien-être plus strictes ont réduit la rentabilité et les gouvernements éliminent de plus en plus l'élevage d'animaux à fourrure. Mais en Chine, où la législation en vigueur est insuffisante et où le commerce de la fourrure reste rentable, la demande reste forte.
Nous venons de publier une nouvelle étude montrant que la vraie fourrure est toujours un business en Chine. La Chine produit et consomme plus de fourrure que le reste du monde, les ventes au détail représentant plus de trois fois celles des autres pays.

Photo ci dessous : 

Dans un élevage en Chine, il existe 52 000 visons dans des rangées interminables d'étables. À mesure que la mode change, le nombre de renards produits en Chine a augmenté récemment.



 

En 2018, il a fallu 50 millions de renards, visons et chiens-viverrins pour satisfaire la demande chinoise en matière de fourrure. C'est autant d'animaux élevés et abattus pour leur fourrure que toute la population d'animaux domestiques du Royaume-Uni. Les souffrances des animaux sauvages captifs, la pollution dévastatrice de l'environnement et l'exploitation des travailleurs des usines infligée par l'industrie sont d'une ampleur sans précédent.




L'éducation pour réduire la demande de fourrure en Chine

Chez ACTAsia, nous pensons que l’éducation est le moyen le plus efficace de réduire la demande de fourrure en Chine.

La fourrure est un must de la mode chez les millénaires et de nombreux jeunes citoyens en Chine. Toutefois, nos enquêtes auprès des consommateurs menées pendant quatre ans montrent que la majorité des personnes qui portent de la fourrure n’ont même pas pensé à sa provenance et beaucoup ne se rendent pas compte que c’est de la vraie fourrure.

Profil d'un adepte de la mode de la fourrure en Chine

     Un quart ne se rendent pas compte qu'ils portent de la vraie fourrure
     Plus d'un tiers l'ont acheté parce que c'est à la mode
     La moitié préfère les garnitures en fourrure aux manteaux de fourrure
     Les trois quarts sont de la génération de 18 à 30 ans
     Plus des trois quarts s'engagent à vivre sans fourrure une fois qu'ils ont appris à produire de la fourrure.



Help China's millennials understand why fur is cruel

 

We've just published new research that shows real fur is still big business in China. China produces and consumes more fur than the rest of the world put together, with retail sales worth more than three times those of any other country.

In 2018, it took 50 million fox, mink and raccoon dog to satisfy China's demand for fur-fashion. That's as many animals farmed and slaughtered for their fur than the UK's entire population of domestic pets. The suffering to captive wild animals, devastating pollution of the environment and exploitation of factory workers inflicted by the industry are on an unprecedented scale.


 Reducing profitability by lowering demand
The Fur-Free movement is making good progress in the fight against real fur in Europe and the US. Stricter welfare standards have reduced profitability, and governments are increasingly phasing out fur farming. But in China, where there's a lack of enforceable law and trade in fur is still profitable, demand remains high. 




  • A quarter don't realise they're wearing real fur
  • More than a third bought it because it's fashionable
  • Half prefer fur trim to full fur coats 
  • Three quarters are millennials, aged 18 to 30
  • More than three quarters commit to living Fur-Free once they have been educated in how fur is produced.

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