mardi 4 octobre 2022

4 octobre Journée Mondiale des Animaux

 



La date du 4 octobre a été choisie pour célébrer les animaux parce que c'est aussi la fête de Saint François d'Assise qui a manifesté tout au long de sa vie un grand amour pour les animaux. Il affirmait que chaque créature, en tant que créature de Dieu, méritait le respect.

Saint François d'Assise prêchant aux oiseaux


Cette journée mondiale des animaux est une journée internationale célébrée le 4 octobre.

L'initiative a été introduite lors du Congrès international pour la protection des animaux à Vienne en 1929, puis ce fut lors du congrès se déroulant à Florence en 1931 que la Journée mondiale des animaux fut instaurée.

Les défenseurs des animaux du monde entier célèbrent la Journée mondiale des animaux le 4 octobre, jour de la Saint-François-d'Assise. Le fondateur de l'ordre des Franciscains et saint patron des animaux considérait en effet les animaux comme des créations vivantes de Dieu, les élevant au rang de frère de l'homme. Pour saint François d'Assise, même un ver de terre répondait à la volonté divine et était digne de protection. Ce n'est donc pas un hasard s'il est généralement considéré comme le premier défenseur des animaux.

source Wikipédia

Journée Mondiale des Animaux : https://www.journee-mondiale.com/168/journee-mondiale-des-animaux.htm

samedi 1 octobre 2022

Alternatives aux matières animales, et leur impact environnemental


Désormais, les manteaux en fausse fourrure font fureur. Si cette matière est exempte de souffrances animales, qu'en est-il de la pollution engendrée ? 

Société Anti Fourrure fait le point, afin de vous conseiller au mieux, de même pour les autres matières alternatives aux peaux animales (ainsi que le cuir, duvet, laine, soie).


Fourrure et cuir/Alternatives 

Tout d'abord, rappelons que l'industrie de la fourrure et du cuir sont classées comme les deux industries les plus polluantes au monde pour les métaux lourds, car le seuil de produits chimiques utilisés (chlore, formaldéhyde...)est quasiment toujours dépassé afin de contrer la putréfaction naturelle d'une matière organique morte.

La plupart des manteaux en fausse fourrure sont en polyester, matière artificielle synthétique dérivée du pétrole.Le polyester, bien qu’il ne soit pas biodégradable, est recyclable à l’infini. Ce procédé de recyclage permet de recréer du polyester en utilisant moitié moins d’énergie que pour une création nouvelle et génère près de 80 % d’émissions en moins.Mais il requiert beaucoup de ressources (eau, énergie, terres de culture, et donc pesticides générant émission de CO2 et de pollution).Cependant, cette matière reste moins polluante que la vraie fourrure.Les marques Mango, Guess, Glamourous, et bien d'autres proposent de beaux et chauds modèles en fausse fourrure composés de cette matière.Parfois les modèles en fausse fourrure contiennent aussi de l'acrylique.C'est une fibre synthétique chimique obtenue à partir d'huile minérale ou d'autres hydrocarbures(composés d'houille, de chaux et d'air) .. Comme les autres fibres synthétiques, l'acrylique est dérivée du pétrole. Un de son  usage les plus connu est la peinture mais elle est aussi de plus en plus utilisée dans l'industrie textile.Elle permet de fabriquer aussi bien des pulls que de la lingerie ou des imitations de fourrure.

La fourrure végétale est la meilleure alternative : en fibres de chanvre mélangées avec de la viscose de pulpe de bois, à la fois éthique et écologique.

Le cuir animal n'est absolument pas écologique. Les animaux utilisés dans l’industrie du cuir émettent près de 15 % des émissions de méthane au monde, et  ce gaz hautement inflammable produit un effet de serre 20 fois supérieur au CO2.

un milliard d’animaux sont abattus chaque année pour leur peau, et toutes les parties de la peau n'étant pas exploitables, la fabrication du cuir est un procédé textile produisant un gigantesque, et démesuré gâchis.
Son procédé chimique de fabrication, le tannage, est aussi extrêmement nocif et dangereux pour l’environnement. 85% est constitué de chrome, dans les les produits chimiques utilisés, élément est toxique pour l’homme et l’environnement.
De plus, le tannage est souvent réalisé dans des pays qui possèdent peut de normes environnementales, avec de réels problèmes sanitaires (Asie).A l'instar de la fourrure en Chine, où le seuil de produits chimiques n'est jamais respecté.

 Le faux cuir produit à partir de PVC ou de produits plastiques, n'est pas écologique.Cela ne veut pas dire que les cuirs plastiques sont plus polluants que  le cuir animal, l'impact de la production de cuir vegan peut être jusqu'à un tiers inférieur à celui du cuir animal (outre les produits chimiques utilisés en très grande quantité pour le tannage, l'industrie d'élevage est extrêmement polluante).

La meilleure alternative végane hautement durable est alors le cuir végétal, comme le cuir d'ananas, appelé Pinatex fabriqué à partir de feuilles d’ananas, ressemblant beaucoup à du cuir. Elle utilise ainsi 40 000 tonnes de feuilles qui autrement auraient été jetés ou brûlées.Cette fabrication n'a pas besoin d’utiliser de l’eau, des pesticides ou des fertilisants. Aucun produit chimique n'est nécessaire pour la transformation des fibres en tissu, pouvant être teint.

Le cuir de champignon (Mylo) est un matériau souple ressemblant à du cuir, fabriqué à partir du mycélium. Sa production ne prend que quelques jours,au contraire de la quantité infinie de travail et d'énergie nécessaire pour produire du cuir animal. Et c'est un matériau totalement non toxique et biodégradable, durable, et imperméable. Stella McCartney utilise cette alternative au cuir.

Le cuir de cactus a été popularisé par la marque mexicaine Desserto, qui a même reçu des prix de l'université d'Oxford et de PETA US. Le cuir de cactus de Desserto est globalement plus durable car il génère beaucoup moins de déchets au cours de son processus de production grâce à ses pratiques à moindre intensité de carbone. Les avantages environnementaux sont également multiples, puisque l'entreprise est en mesure d'enrichir le sol et d'accroître la biodiversité pour économiser l'eau, ainsi que de réduire considérablement son empreinte carbone.

Enfin, le cuir de pomme est 100% biodégradable, produit à partir des restes de pommes récoltées, est une matière très douce se rapprochant du cuir animal. Des marques comme Volkswagen utilisent ce matériau.

La fibre de coco La fibre textile de coco ou « coir » provient de l'enveloppe qui protège le fruit du cocotier (Cocos Nucifera). Cette espèce de palmier n'est pas un arbre, mais une plante de la famille des Arecaceae.

La grande rigidité de la fibre de coco limite ses applications purement textiles à des secteurs techniques (bâtiment, agriculture…), à la décoration et aux objets utilitaires : 

– brosserie, 

– tapis (nattes, carpettes, paillassons…), 

– rembourrage de sièges ou de literie, 

– insonorisation,

En revanche, la fibre de coco n’a pas de débouchés dans la mode/habillement.

Duvet/Alternative

Le duvet vient d'une industrie (principalement de Chine)où  les oiseaux (oies, canards)sont  entassés en très grand nombre dans des exploitations où le plumage à vif leur laissera des blessures (ailes cassées...)avant d'être envoyés en abattoir où ils seront égorgés et plongés dans l'eau bouillante, pour leur chair.Peu de marques s’approvisionnent en France, chez des producteurs locaux de canards, pour les plumes.Et même par ce biais, ces derniers seront de toutes façons massacrés pour la consommation humaine.

Le kapok, est une bonne alternative aux plumes d’oie.La fibre de kapok est respectueuse de l'environnement, mais offre aussi de nombreux avantages : elle retient jusqu'à 80 % d'air, ce qui donne au matériau de bonnes capacités isolantes, elle est de plus hygroscopique, et présente donc des propriétés antibactériennes naturelles.

Laine/Alternative 

L'industrie de la laine est porteuse de souffrances également.Les moutons et agneaux (leur laine provient principalement d'Australie) qui survivent seront victimes du mulesing (peau des fesses découpée)et castrés sans anesthésie, leur tonte relève aussi de graves blessures.Les chèvres et les lamas (Angora, Alpaga, mohair et cachemire )élevés dans des fermes inadaptées à leurs besoins souffrent de ces conditions et seront abattus après usage. Le cachemire est issu du pelage de chèvre. Pour produire un seul pull, il faut quatre animaux (pour une capuche en fourrure animale, il faut deux renards ou chiens viverrins). Il résulte aujourd'hui de l’élevage colossal de chèvres des menaces de désertification importante en Asie et en Mongolie d'où provient principalement leur laine.

Le lin (plante zéro déchet) est une bonne alternative, car c'est un des tissus le plus écologiques (comme le chanvre, d'ailleurs les premiers jeans étaient en chanvre) qui existent. Ces deux plantes ne demandent pas de fertilisant ou de pesticide,  et peu d’eau est nécessaire à leur culture. Ces sont également des matières robustes.Le coton, lorsqu'il n'est pas bio est relativement polluant Il demande beaucoup d'eau et d'énergie pour sa production.Le lin est alors aussi la meilleure alternative au coton non bio.

Soie/Alternatives

La soie n'est pas non plus exempte de souffrances  : il faut tuer les vers, qui sont ébouillantés ou gazés,1 kg de soie = 6600 vers..  La fabrication de la soie n'est pas sans impact sur l'environnement, même si ce textile est naturel et biodégradable. En effet, pour faire l'élevage intensif des vers à soie (majoritairement d'Asie), les éleveurs ont recours à des produits chimiques tels que les engrais, les pesticides et les antibiotiques, et utilisent de grandes quantités d'eau chaude.

La viscose est une alternative car c'est une matière plastique non dérivée du pétrole mais d'origine végétale, et bio dégradable. On obtient la viscose avec de la cellulose et des traitements chimiques et physiques afin qu'elle prenne forme.Elle est utilisée pour la fabrication des textiles.Son impact écologique n'est pas nul, car elle se dégrade lentement, se dispersant dans l’environnement, ses micro fibres se retrouvant dans la mer.Elle requiert aussi des produits chimiques toxiques et polluants (disulfure de carbone)et réclame beaucoup d'eau, plus encore parfois que pour la fabrication du coton, et un tiers de la viscose vient de forêts en voie d'extinction.  Le Lyocell est une alternative à la viscose car on remplace le disulfure de carbone par un produit non toxique, un solvant recyclable.Le Lyocell est une fibre synthétique fabriquée à partir de cellulose d’eucalyptus.Le modal (issu des hêtres, arbres qui n'ont pas besoin d'être irrigués) est aussi une alternative, avec un impact environnemental très faible, mais qui ne doit pas provenir des forêts détruites en Amazonie. Ces fibres sont très résistantes, il est donc utilisé pour les vêtements de sport, le linge de toilette (serviettes...).

Rappelons que 120 millions d’arbres sont abattus chaque année pour l’industrie textile.

(source Wikipédia et Novacteur)





mardi 27 septembre 2022

Campagne Mode Sans Animaux : marque de la semaine.

Campagne Mode Sans Animaux 


Marque de la semaine :Max et Moi.


Max et Moi, l'une des pires marques de notre campagne, s'accroche à la fourrure animale....demandons inlassablement qu'elle suive l'exemple des autres marques de plus en plus nombreuses à mettre un terme à ce commerce fait de torture et de sang.Aussi, le cuir d'agneau, le duvet de canard (ainsi que la laine, le cachemire)sont également proposés.Faut-il rappeler ce que que subissent les animaux pour ces matières ?Le cuir n'est autre que souffrances, et qui plus est infligées à des bébés, et là en occurrence aux agneaux pour Max et Moi, alors que le cuir végétal est en pleine expansion.De même, les oies et les canards  sont emprisonnés et tués dans l'industrie du duvet.Le plumage à vif consiste à arracher un maximum de plumes et de duvet (couche de fines et petites plumes au plus près du corps)de l'oiseau qui en souffre énormément.
Le plumage cause des blessures :  plaies ouvertes, ailes cassées suite à la brutale manipulation brutale. Ces oiseaux sont ensuite expédiés en abattoir pour leur consommation, où ils sont égorgés et plongés dans l'eau bouillante.Alors que le kapok peut remplacer le duvet,La fibre de kapok est respectueuse de l'environnement, mais offre aussi de nombreux avantages : elle retient jusqu'à 80 % d'air, ce qui donne au matériau de bonnes capacités isolantes, elle est de plus hygroscopique, et présente donc des propriétés antibactériennes naturelles.....quant à la laine, les animaux (moutons et agneaux)qui survivent à cette industrie seront victimes du mulesing (peau des fesses découpée)et castrés sans anesthésie, leur tonte relève aussi de graves blessures.Les chèvres et les lamas (Angora, Alpaga, mohair et cachemire )élevés dans des fermes inadaptées à leurs besoins souffrent de ces conditions et seront abattus après usage.Le lin est une matière écologique, à privilégier comme alternative.





Max et moi : fourrure de Chine (chien viverrin, renard, lapin, vison ).Cuir d'agneau.Duvet canard.Laine, cachemire et soie. 


lundi 26 septembre 2022

De nouvelles images d'infiltration révèlent des animaux souffrants dans les fermes à fourrure du Québec/pétition

Il ne reste que 3 fermes à fourrure à Québec, où de nouvelles images troublantes prises à la dernière ferme à fourrure de renards montrent les mêmes conditions sordides et cruelles que dans tous les pays. Les photos révèlent des renards vivant dans de minuscules cages en filet rouillé, sans enrichissement et une protection inadéquate contre les intempéries. Les images révèlent également une autre ferme à fourrure du Québec qui garde les visons dans des conditions sales et intensives, y compris des cages et des nichoirs recouverts d'une accumulation de saleté, de rouille et de toiles d'araignées.... Pétition pour la fermeture de ces élevages en fin d'article :

https://animaljustice.ca/blog/quebec-fur-farm-photos-show-suffering-foxes-mink



Loyauté de l’étiquetage des vêtements contenant des parties non textiles d’origine animale.



Pendant plus de une décennie, les étiquetages inexistant des articles en vraie fourrure (la plupart du temps importés de Chine)étaient monnaie courante.Ainsi les consommateurs pensaient acheter un anorak avec capuche en fausse fourrure.Société Anti Fourrure ayant réalisé une sensibilisation au quotidien du public depuis 2009 l'avait constaté  régulièrement.

Aujourd'hui, la mention vraie fourrure doit être indiquée, les contrôles effectués durant les  années précédentes l'ont enfin exigé.Cependant, l'étiquetage "raton laveur" alors qu'il s'agit de chien viverrin perdure quelque peu.(N’hésitez pas à contacter le service de répression des fraudes si vous constatez ces manquements).

Confusion des étiquetages "raton laveur "alors qu'il s'agit de chien viverrin :

Un étiquetage « fourrure de renard » ne correspondait pas à la facture d’achat qui mentionnait une « fourrure de raton laveur ».[2] Le chien viverrin (var. chien martre, raccoon dog, tanuki) est une espèce de mammifère carnivore qui ressemble à un raton-laveur, mais appartient à la famille des canidés. Ce n’est donc pas un chien ‒ dont le commerce de la peau est interdit dans l’Union européenne ‒, ni même un membre du genre Canis.

[3] L’étiquetage d’un échantillon mentionnait le nom courant « raton laveur » (en français) suivi d’un nom latin correspondant au chien viverrin.

[4] En anglais, raccoon désigne un raton laveur ou un représentant du genre Procyon en général.


Les enquêteurs de la DGCCRF ont vérifié en 2018 l’information fournie aux consommateurs en matière d’étiquetage et la loyauté des pratiques commerciales. Ils ont en outre procédé à des recherches sur les risques chimiques éventuels et réalisé des analyses de la composition en fibres des articles textiles. Les parkas et doudounes contenant des plumes et du duvet, les vestes contenant des parties en cuir et les manteaux au col ou à la bordure en fourrure ont été ciblés pour vérifier qu’aucun animal interdit n’était utilisé. Le marquage de l’origine géographique[1] a enfin fait l’objet de vérifications.

La majorité des échantillons prélevés ne respectait pas la réglementation :

Les anomalies observées sur les échantillons textiles étaient liées, soit à l’absence de la mention « contient des parties non textiles d’origine animale » (13 échantillons concernés), soit à l’écart entre la composition en fibres annoncée et celle retrouvée après analyse : composition en fibres erronée (12 échantillons), composition en fibres « nobles » (mohair, angora, cachemire) erronée (2 échantillons).
Le renard, le raton laveur, le chien viverrin[2] et le lapin étaient les espèces animales correspondant aux 19 échantillons contenant de la fourrure (véritable ou synthétique) prélevés. 12 échantillons ont été déclarés non conformes pour une fourrure non annoncée, une espèce nommée en langue étrangère, une erreur sur l’espèce annoncée, l’affichage de noms contradictoires[3] ou encore l’absence de l’indication « imitation fourrure » sur des matières pouvant prêter à confusion avec de la fourrure.
Deux des trois échantillons contenant du cuir n’annonçaient pas l’espèce animale.
Les six articles textiles contenant des plumes et duvet n’étaient pas des articles textiles au sens réglementaire car leur poids en textile était inférieur à 80 % du poids de l’article.
Deux articles portaient des allégations valorisantes indues. L’un n’était que partiellement « imperméable ». L’autre ne pouvait être qualifié de « respirant ».
Sur l’étiquetage, les enquêteurs ont relevé l’absence de certaines indications : mention « contient des parties non textiles d’origine animale », espèce animale après le mot « fourrure », qualité de la fourrure (p. ex. « pleine peau »), nom de l’espèce animale pour le cuir, composition des parties en imitation fourrure (col, bordure de capuche, pompon, etc.), mention « imitation », ou encore composition ou indication fantaisiste (« fourrure écolo », « cuir vegan », « simili cuir », etc.).
Les étiquettes de composition font parfois défaut ‒ notamment sur les articles vendus sur les marchés de plein air ou en solderie ‒ ou sont non conformes. La composition réelle en fibres textiles diffère parfois de la composition annoncée.
Des mentions contradictoires et trompeuses ont été relevées sur l’étiquetage ; ainsi de « marmotte » et « raccoon d’élevage »[4]. Les mentions « vraie fourrure » et « cuir véritable » distinguent abusivement cette fourrure et ce cuir parmi d’autres et sont donc susceptibles d’induire le consommateur en erreur. Un étiquetage « fourrure de renard » ne correspondait pas à la facture d’achat qui mentionnait une « fourrure de raton laveur ».
Le défaut d’emploi de la langue française est récurrent, que l’espèce soit indiquée en langue étrangère ou que les étiquetages ne soient pas traduits.
Il arrive que l’origine française (p. ex « fabrication française », « fabriqué en France ») ne puisse être justifiée.
La réglementation relative à l’étiquetage de composition des articles textiles est globalement connue des professionnels, mais n’est pas toujours bien appliquée. L’usage de la mention « contient des parties d’origine animale » apparaît très mal maîtrisée par les distributeurs et les façonniers alors qu’elle constitue un enjeu important de consommation pour une partie de la population. Il convient toutefois de relever qu’aucune espèce animale protégée au titre des conventions internationales (CITES) n’a été détectée dans les prélèvements analysés.

[1] Ce marquage n’est pas obligatoire pour les produits non alimentaires. Si une origine est toutefois indiquée sur le produit, elle doit pouvoir être justifiée par le professionnel et se montrer conforme à la réalité.

[2] Le chien viverrin (var. chien martre, raccoon dog, tanuki) est une espèce de mammifère carnivore qui ressemble à un raton-laveur, mais appartient à la famille des canidés. Ce n’est donc pas un chien ‒ dont le commerce de la peau est interdit dans l’Union européenne ‒, ni même un membre du genre Canis.

[3] L’étiquetage d’un échantillon mentionnait le nom courant « raton laveur » (en français) suivi d’un nom latin correspondant au chien viverrin.

[4] En anglais, raccoon désigne un raton laveur ou un représentant du genre Procyon en général.

Résultats
Taux global d’anomalie (actions) : 33 %
84 avertissements
10 injonctions
2 procès-verbaux pénaux
Taux de non-conformité (prélèvements) : 88 %

Source :

https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/loyaute-de-letiquetage-des-vetements-contenant-des-parties-non-textiles-dorigine-animale


samedi 24 septembre 2022

Le Parlement letton interdit l’élevage d’animaux à fourrure

 


Zurich, le 23.09.2022 – Le Parlement letton a voté à la majorité en faveur d'une interdiction totale de l'élevage d'animaux à fourrure, qui entrera en vigueur en 2028. La Lettonie devient ainsi le 15ème pays de l'Union européenne à s'opposer à la souffrance animale dans les fermes d'élevage d'animaux à fourrure :




fondant chocolat courgettes végan

 La saison des courgettes se termine, c'est l'occasion de se régaler avec un fondant chocolat courgettes :

  • 2 à 3 courgettes
    10 cl de lait d’amande
    50 g de purée d’amande (ou crème)
    50 g d’huile 
    180 g de chocolat noir (une plaquette)
    300 g de farine, ou fécule de maïs
    60 g de sucre (ou sans sucre)
    1 càs de levure chimique
    1 pincée de sel
    Préchauffez le four à 180° C.
  • Épluchez et râpez les courgettes puis les mixer avec le lait d'amande, la purée et l'huile.

    Faites fondre le chocolat au bain marie.

    Mélangez la farine, le sucre, la levure et le sel.Incorporez la préparation aux courgettes puis le chocolat fondu.

    Versez dans un moule et mettre au four 15  à 20 minutes environ.



Régime végan : 3 adeptes décrivent ses vertus, ainsi qu'une diététicienne

 https://www.medisite.fr/regimes-alimentaires-regime-vegan-3-adeptes-decrivent-ses-vertus.5652060.524224.html