mardi 19 février 2019

Compte rendu tractage anti fourrure samedi 18 février Paris.







Malgré le temps clément, les vêtements à garniture en fourrure animale ne sont pas encore rangés dans les placards.

Comme d'habitude, pas mal de personnes sensibilisées, entre autres :

Une jeune femme dans le métro avec capuche, a avoué : "erreur de jeunesse, je ne savais pas cette cruauté quand je l'ai acheté il y a 15 ans". Elle a pris le tract, puis a répondu à la question posée concernant l'étiquetage, qu'il s'agissait de raton laveur.Il lui a alors été dit que ces étiquetages mensongers perdurent depuis près de 20 ans. En effet, ces capuches lorsqu'elles indiquent raton laveur sont en réalité en chien viverrin, comme déjà expliqué de nombreuse fois, et la preuve en a été donnée grâce à la conférence à Bruxelles fin 2017 avec expertises  de labo à l'appui. De nombreuses personnes auront moins d'empathie pour un raton laveur qu'un chien, c'est pourquoi les marques pratiquent ces étiquetages, afin de moins choquer le consommateur et mieux écouler les ventes.Puis, surprise, lorsque nous sommes descendues du wagon (à la même station), elle a demandé :

"Mais je devrais l'enlever, non ?", réponse : "oui, bien sûr ! si vous me demandez mon avis, en référence à ce qu'a souffert l'animal, n'hésitez pas ! "

"Oui, je vais l'enlever, c'est décidé !". Mieux vaut tard que jamais......

D'autres personnes ont également été réceptives et accepté le tract.

La sensibilisation du public est primordiale, et nombreuses sont les personnes qui souhaitent se retourner contre la marque lorsque la mention "fourrure animale" est absente. Ce qui a permis de convaincre beaucoup de marques de décider d'en finir avec la fourrure animale, elles choisissent alors de se tourner vers la fourrure synthétique.

ALWAYS KEEP FIGHTING.

« Pour que le mal triomphe, il suffit que les personnes au grand cœur restent sans rien faire ».
 
Martin Luther King (1929-1968)







Aucun commentaire: