mardi 26 janvier 2016

Les News de la Renarde : compte rendu tractage anti fourrure samedi 23 et dimanche 24 janvier Paris.





Des personnes sensibilisées victimes d'étiquetages inexistants, comme entre autres, cette jeune fille et son père, tous deux très réceptifs. Elle portait une capuche et nous a répété sincèrement être désolée d'avoir douté, en raison de l'absence de composition de cette garniture. En effet, beaucoup pensent que si rien n'est indiqué, c'est que ce n'est pas de la fourrure animale ; ils ne sont pas vraiment dans leur tort puisque la loi exige que chaque pièce en fourrure animale doit être mentionnée, et pourtant... nombreuses sont ces fameuses capuches made in China, que les marques décident de passer sous trappe, ne sachant d'ailleurs pas elles mêmes, lorsqu’elles s'approvisionnent chez leurs grossistes chinois, de quelles espèces viennent ces fourrures.
Une autre jeune femme, très réceptive, avec une capuche non étiquetée, seule la composition du vêtement était mentionnée (comme si souvent) : 100 % acrylique/synthétique. Cette indication laisse alors à penser que la capuche ne peut être en fourrure animale.
Une femme avec un col, qui a rétorqué avec un grand sourire "être végane et connaître L214" et prétextait que ce vêtement appartenait à sa grand-mère. Il lui a bien sûr été répondu que c'est un non sens de porter la fourrure d'un animal, si ancienne soit elle, et se dire végane. Nous lui avons aussi conseillée de supprimer tout simplement cette garniture du manteau.

La sensibilisation du public est primordiale pour faire reculer l'industrie de la fourrure, rejoignez nous !

"Le monde n'avance que grâce à ceux qui s'y opposent" Goethe.

Le combat continue...


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