Auxerre :
Un jeune homme a été très réceptif, (ce qui a permis une bonne
discussion), avec une capuche en vraie fourrure, de la marque Kaporal,
mais sans la mention le précisant. En effet cette marque, pratique
l’étiquetage litigieux (voir liste Campagne France Sans Fourrure).Cette
personne a dit avoir déjà eu des doutes, aussi car son entourage lui a
fait remarquer que sa capuche ressemblait à du poil animal. Mais ayant
payé ce vêtement à un moindre coût, il pensait à l'instar de beaucoup,
que ce ne pouvait pas être de la vraie fourrure. Après explications de
la réalité du commerce de la fourrure (entre autre, animaux dépecés
encore ou pleinement conscients, les substances hautement toxiques
contenues dans les bordures de capuche, à cause des produits chimiques
utilisés largement dont le seuil est largement dépassé), il nous a dit
sincèrement qu'il n'aurait pas acheté si il avait su.D'autres personnes,
ont bien réagit de même, d'autres abordés aussi dans la rue (de manière
toujours correcte et diplomate)ont pris le tract avec intérêt.Sur le
lieu de travail, une jeune femme sensibilisée la veille, est
arrivée le matin sans le vêtement à garniture, et a remercié
chaleureusement pour le tract qu'elle a lut attentivement. Elle a voulu
tester en brûlant l'un des poils, et a constaté aussitôt à l'odeur, que
sa capuche malgré l'absence de mention "fourrure animale", n'était pas
en fausse fourrure.
Il est toujours conseillé au public de réaliser aussi le test du
briquet, afin de s'assurer et pas seulement à l'aspect, si la fourrure
est animale ou synthétique.L’odeur du poil en vraie fourrure si on le
brûle est similaire à celle du cheveu brûlé, alors que celle du poil
synthétique sent le caoutchouc.
Paris :
Une jeune femme avec capuche, et sa mère qui insistait lourdement,
persuadée qu'il s'agissait de fausse fourrure, a écouté les
explications.Après discussion, elles ont finit par comprendre que cette
capuche était en fourrure animale (poils plus fins à leur extrémité,
plusieurs couches forment une sous couche d'où dépassent les poils les
plus longs).
Le meilleur pour la fin : un adolescent avec capuche, accompagné d'un
copain, a eu une réaction formidable. Il a d'abord promis de lire le
tract, puis ils sont revenus quelques minutes après pour nous demander d'autres
tracts, afin de donner à leur entourage, ainsi qu'à des dames en
terrasse d'un café juste à côté, avec vêtement à garniture.
Les jeunes sont l'avenir, ils sont à sensibiliser de manière primordiale !
« Pour que le mal triomphe, il suffit que les personnes au grand cœur restent sans rien faire ».
Martin Luther King.