Avec la fraîcheur encore présente, les anoraks, ou vestes avec garniture en vraie fourrure perdurent (à ne pas manquer afin de sensibiliser le public).
En effet, aborder poliment les passants dans la rue, les lieux publics, reste très important. C'est ce que pratique notre association depuis près de 17 ans. Il est primordial de dévoiler l'incurie cachée derrière ces vêtements.
Vous souhaitez aider les animaux victimes de cet abject commerce ?
Nous vous encourageons à télécharger notre tract sur http://www.societeantifourrure.fr/
Entres autres, quelques réactions au tractage jeudi 27 à Perpignan :
Une dame avec une énorme capuche très probablement en renard, a pris le tract, après l'avoir informée des pratiques sans nom infligées aux animaux.
Une jeune femme avec une capuche similaire (renard ou chien viverrin) a répondu qu'elle irait se renseigner sur internet, sans toutefois accepter le tract. Le but étant d'informer, non de juger, insister n'aide pas notre cause. Il lui a quand-même été dit en dernier lieu que les animaux sont dépecés vivants la plupart du temps.
Une dame avec capuche ressemblant fort à du lapin, a pris le tract sans hésiter, disant que l’étiquette ne mentionnait pas "fourrure animale" (le fameux trafic des anciens modèles).
Une autre à la capuche teinte en bordeaux dans un magasin biologique l'a pris également, l'air gêné.
Une femme (capuche en chien viverrin, avec les poils les plus long qui dépassent) a dit qu'on lui avait donnée ce vêtement, et qu'elle le mettait souvent, n'a pas souhaité prendre le tract. Il lui a alors été dit qu'il s'agit de torture animale, infligée dans les élevages en Chine, pays d'où vient encore la majorité de ces garnitures en France. Il a été précisé que ce sont les marques les plus responsables, puisqu'elles importent de ce pays, ces fourrures étant les plus avantageuses, en évitant la mention "vraie fourrure" pour mieux écouler les ventes. Ce qui n'est plus le cas avec les nouveaux modèles, puisque les marques ont été épinglées et doivent à présent préciser par un étiquetage précis "fourrure véritable" ou "fourrure animale". Cependant, si vous trouvez en boutique de la vraie fourrure non mentionnée, n'hésitez pas à faire des photos (article et étiquette, puis contactez le service de répression des fraudes de votre département). Et dites le aux vendeurs, vendeuses, qui eux mêmes bien souvent ne sont pas informés.
La fourrure, on aura sa peau !
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