Plus de bonnes réactions que de mauvaises, bien heureusement, et encore
pas mal de garnitures non étiquetées, portées par des gens qui ne savent
pas de quoi il retourne, loin s'en faut.
Également des vestes, cols et poignets étiquetées vraie fourrure, et
portées par un public (en minorité) plutôt hostile (ceci va avec cela) :
une femme d'âge mûr (très maquillée, rappelant fort le personnage de
Cruella) en méga manteau paraissant être en loup, de rétorquer au
"Bonjour Madame, informations sur la fourrure et sa cruauté" :
"Et vous alors, c'est du plastique vos chaussures ?" Toujours le même
genre de réflexions réductrices des plus réfractaires, s'accrochant
lamentablement à la peau des animaux torturés, à l'aube du 3ème
millénaire.....
Puis une femme plus jeune, avec col en lapin et capuche, de répondre,
avec un air ironique mais sans en gardant le regard baissé : "Ouais,
ouais, bien sûr".
Les bonnes réactions à présent :
Une maman d'une petite fille à qui elle venait d'acheter un col en solde, avec un franc sourire :
"Vous avec raison, je sais, et je ne peux que culpabiliser..... mais
vous êtes sûr qu'il n'existe pas d"élevages corrects dans l’industrie de
la mode ?" ce à quoi il lui a été expliqué les conditions de vie et de
mort innommables dans tous les élevages, qu'ils soient destinés à
l'industrie vestimentaire ou alimentaire. Et de quelles souffrances
regorgent ne serait-ce que ce petit col acheté sans réfléchir.
Remerciements et encouragements de sa part, en échange d'informations
quant au fait également que ces garnitures peuvent être en chien ou en
chat, massacrés en chine, pays d'où provient 90% de la fourrure au
monde.
Une autre jeune fille a pris le tract, avec intérêt.
Et le meilleur pour la fin, venant de la dernière personne sensibilisée ce jour :
longue conversation avec une dame à capuche étiquetée vraie fourrure,
mais qui ignorait les effroyables traitements réservés aux animaux pour
leur fourrure; Elle pensait qu'on les endormait afin qu'ils ne souffrent
pas, avec une piqure.Elle demanda ce qu'il en était du cuir, possédant
plusieurs vêtements. Ces échanges furent vraiment intéressants, pour
conclure de la part de cette dame, que si nous savions cette sordide
réalité, nous n'achèterions pas. Eh oui, le principe est simple : si on
arrête d'acheter, ils arrêtent de tuer. C'est pourquoi la
sensibilisation du public est essentielle dans ce combat, et devrait
être pratiquée par le plus grand nombre; Ce n'est pas difficile, et les
ainmaux le valent bien : ayez toujours des tracts dénonçant la fourrure
sur vous, et n'hésitez pas à aborder poliment les personnes dans la rue,
dans les lieux publics, vêtues de fourrure. Ils ne vous pas vous mordre, et cela vaut bien le coup de mettre sa timidité de côté, quand on pense aux deux animaux par seconde au moins qui succombent dans le monde pour l'industrie de la fourrure.
Autre chose essentielle : solliciter les marques de prêt-à-porter sans relâche.
Le combat continue........
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