Avec 19 propiétaires de boutiques s'engageant à ne pas commercialiser de fourrures !
Amsterdam celebrates first fur-free shopping street in Europe:
http://www.furfreealliance.com/amsterdam-celebrates-first-fur-free-shopping-street-europe/
dimanche 17 juillet 2016
mercredi 6 juillet 2016
Les animaux souffrent aussi en été ! Ne relâchez pas la pression sur les marques !
NE RELÂCHEZ
PAS LA PRESSION AUPRÈS DES MARQUES DE PRÊT-À-PORTER PENDANT CETTE SAISON
ESTIVALE : Les animaux destinés au commerce de la fourrure souffrent toute l'année
dans les fermes d'élevage ; pour eux, alors que les vêtements à garniture sont
rangés dans les placards, l'été ne changent rien. Leurs conditions de vie et de
mort restent les mêmes, ils sont aussi confrontés à la chaleur dont ils ne
peuvent se protéger dans leur cage exigües et grillagées ; il arrive d'ailleurs
qu'ils meurent de chaud. Rappelons que plus nous convaincrons de marques d'en
finir avec ce commerce sans nom, plus la demande reculera. En effet, toutes ces
garnitures (capuches, cols) viennent de Chine, où de plus en plus d'élevages de
chiens viverrins et de renards ont vu le jour à cause de la demande en
Occident, où l'Union Européenne est le plus grand importateur des 95% des
produits issus des peaux animales que la Chine exporte. Dans les années 1970-1980,
la Finlande (qui est avec la Chine le plus gros producteur de fourrure au
monde) a commencé a fournir des chiens viverrins à la Chine afin que son
commerce de la fourrure s’accroît.
En Finlande, l'animal est électrocuté par l'anus
avant le dépeçage, ce qui réduira à peine l'extrême douleur.
Voici un extrait du dernier Rapport sur le Commerce de la
Fourrure en Europe qui en atteste (photos issues de ce rapport) : http://www.eurogroupforanimals.org/wp-content/uploads/2015/10/Case-Saga-Furs.pdf
"Selon les rapports sur l'industrie de la fourrure chinoise, le renard et le chien viverrin sur les fermes à fourrure chinoises peut être conservés dans des cages mesurant environ 90 (L) x 70 (W) x 60 (H) cm, l'équivalent de 0,63 m avec chacun des logements de un ou deux animaux. Ce qui veux dire que les cages en Chine contiennent trois fois moins d'espace et 14% (10cm) moins de hauteur prévue par les recommandations du Conseil de l'Europe"
"Selon les rapports sur l'industrie de la fourrure chinoise, le renard et le chien viverrin sur les fermes à fourrure chinoises peut être conservés dans des cages mesurant environ 90 (L) x 70 (W) x 60 (H) cm, l'équivalent de 0,63 m avec chacun des logements de un ou deux animaux. Ce qui veux dire que les cages en Chine contiennent trois fois moins d'espace et 14% (10cm) moins de hauteur prévue par les recommandations du Conseil de l'Europe"
Ajoutons à cela les tortures physiques et psychologiques
endurées par les animaux, dénoncées par les enquêtes de Animal Equality dans
plusieurs élevages Chinois début 2015 :
Animaux blessés, agonisants, à peine ou pas même abreuvés,
nourris avec les restes de leurs congénères déjà morts, qui finiront par être
dépecés pleinement conscients. Les enquêteurs d'Animal Equality ont dû assisté
au cauchemardesque dépeçage d'une femelle chien viverrin vivante :
Vidéo : http://www.animalequality.net/node/681
Enfin, n'oublions pas que des chiens et chats torturés et tués
pour être mangés en Chine sont victimes aussi du commerce de la fourrure. En
effet, malgré l'interdiction d'importation au niveau de l'Europe en 2006, le
trafic étant rentable et les contrôles douaniers inefficaces, les trafics
perdurent. Ainsi ces capuches en fourrure animale étiquetées de manière
litigieuse afin de ne pas choquer le consommateur avec le mot "chien"
(le plus souvent aucune mention, ou encore "Raton laveur" alors que
cet animal est très rarement exploité pour sa fourrure découlent
d’effroyables souffrances et de mort atroce.
C'est pourquoi nous vous demandons vivement d'insister auprès
des marques et ce régulièrement, afin qu'elles prennent la décision de cesser
d’utiliser les animaux pour leur commerce, comme plusieurs d'entre elles l’ont
fait, grâce à la pression du collectif et du public.
Par exemple, la marque Morgan en 2012 : http://societe-anti-fourrure.blogspot.fr/2012/03/campagne-france-sans-fourrure-morgan.html
Kookai en 2014 : https://www.youtube.com/watch?v=VvoOIpXIbSQ
Nous avons longtemps manifesté contre cette marque qui a ainsi arrêté de vendre de la fourrure animale :
D'autres encore :
Camaïeu (angora de lapin) : http://societe-anti-fourrure.blogspot.fr/2013/12/campagne-france-sans-fourrure-reponse.html
Jacadi : http://societe-anti-fourrure.blogspot.fr/2015/03/campagne-france-sans-fourrure-la-marque.html
Vous êtes nombreux à vous insurger auprès de notre collectif
contre ces marques de prêt-à-porter, et nous vous conseillons de les contacter
régulièrement pour leur signifier ce que vous nous dénoncez : que vous
n'achèterez jamais chez elles, tant que ces marques n'arrêterons pas la vente de fourrure animale.
Derniers articles sur notre Campagne Facebook où nous vous expliquons comment et pourquoi contacter les marques, merci d'agir, votre action est importante :
Zapa, cible n°1 :
IKKS :
Burberry :
She :
Bel Air :
Zadig et Voltaire :
Gertrude :
123 :
Sud Express :
https://www.facebook.com/photo.php?fbid=1627617210896073&set=gm.864643046981182&type=3&ref=3&ref_newsfeed_story_type=regular&action_history=null
Redkins et Kaporal :
LES ANIMAUX ONT BESOIN DE NOTRE SOUTIEN
Fourrure : ABOLITION !!
L'équipe du collectif Société Anti-Fourrure
notre page Facebook : https://www.facebook.com/Soci%C3%A9t%C3%A9-Anti-Fourrure-1 ;
notre Campagne France Sans Fourrure 2016 sur Facebook : https://www.facebook.com/events/762543757191112/?ref=3&ref_newsfeed_story_type=regular&action_history=null&source=3&source_newsfeed_story_type=regularnotre
Campagne France Sans Fourrure 2016 sur ce blog : http://societe-anti-fourrure.blogspot.fr/2015/09/campagne-france-sans-fourrure-20152016.html
notre compte Twitter : @SocAntiFourrure
L'équipe du collectif Société Anti-Fourrure
notre page Facebook : https://www.facebook.com/Soci%C3%A9t%C3%A9-Anti-Fourrure-1 ;
notre Campagne France Sans Fourrure 2016 sur Facebook : https://www.facebook.com/events/762543757191112/?ref=3&ref_newsfeed_story_type=regular&action_history=null&source=3&source_newsfeed_story_type=regularnotre
Campagne France Sans Fourrure 2016 sur ce blog : http://societe-anti-fourrure.blogspot.fr/2015/09/campagne-france-sans-fourrure-20152016.html
notre compte Twitter : @SocAntiFourrure
lundi 23 mai 2016
Les News de la renarde : Compte-rendu de distribution de tract mai 2016
Malgré le beau temps, des températures peu élevées et des averses ne favorisent pas la disparition des manteaux à garniture en fourrure. Il faut donc en profiter pour sensibiliser le public ! Ainsi, ce sont des individus qui n'en porteront pas l'année prochaine.
En effet, nous avons encore des réactions positives de personnes horrifiées d'apprendre la provenance et les conditions de vie des animaux à fourrure qui trônent sur les capuches.
Une
maman avec un anorak a très bien réagit et a affirmé qu'elle n'aurait jamais acheté ce vêtement
si elle avait su la cruauté qui en découle (comme souvent, il n'y avait aucune
étiquette concernant la composition de la capuche, ressemblant fort à du poil
de berger allemand).
Une jeune fille a également été très choquée d'apprendre qu'elle portait certainement du chien viverrin et a fait la grimace en voyant les photos de ces animaux exploités en Chine, afin de finir sur des capuches.
Une jeune femme qui portait un pompon en fourrure animale comme accessoire décoratif a été convaincue par nos arguments et les réalités de cette mode violente et polluante. Son amie possédait, elle, un accessoire du même type mais en fourrure synthétique, ce qui permettait de lui montrer que les alternatives existent, sont abordables et meilleures pour la planète, la santé et les animaux.
Plusieurs personnes lisent chaque jour avec attention nos sacs "Je ne porte pas de fourrure" et certaines nous ont accostées pour avoir des précisions au sujet des élevages de ces animaux, voire pour prendre des tracts et nos coordonnées.
Si
ces bords de capuches sont toxiques, ce n'est rien en comparaison de ce que
subissent les animaux (ils sont plus de 4 par seconde à succomber pour cette mode sans éthique). Ils sont dépecés la plupart du temps
pleinement conscients, après avoir vécu une vie de misères physiques et
psychologiques, dans une cage exiguë, à peine nourris (avec les restes de leurs
congénères) et abreuvés, sans soins ni divertissements.
Pour eux, pensez à informer vos proches et les consommateurs qui portent de la fourrure animale.
Vous pouvez agir sur la Campagne France Sans Fourrure (sur Facebook ou sur le blog)
mais aussi nous contacter pour recevoir une formation à la distribution de tract.
mais aussi nous contacter pour recevoir une formation à la distribution de tract.
Fourrure : abolition !
mardi 17 mai 2016
Pétition à l'encontre de la boutique Kisly de Sens, qui ne respecte pas son engagement
pétition à signer :
Au 17 mai 2016, le collectif français Société Anti-Fourrure
n'a toujours pas reçu la signature de sa charte anti fourrure de la part
de Monsieur Yé, responsable de la boutique Kisly, à Sens.
Cela a été pourtant convenu par téléphone en mars 2016, suite au retrait des articles en vraie fourrure, grâce à la pression du public et de notre collectif (voir l'article : http://societe-anti-fourrure.blogspot.fr/2016/03/vers-une-victoire-de-taille-face-la.html).
Nous craignions en effet que ces articles soient de nouveau mis en
rayon lors de la prochaine collection automne hiver, c’est pourquoi nous
avions convenu avec M. Yé l’envoi de cette charte, qu’il s’était engagé
à nous retourner signée, disant qu’il ne comptait plus commercialiser
d’autres fourrures animales. La boutique proposait à la vente vraies et
fausses fourrures, mais faisait passer de la vraie fourrure pour de la
fausse sur certains de ses présentoirs.
Les dernières informations reçues de la part d’une vendeuse
très agressive au téléphone sont malheureusement contraires à la parole
de M. Yé, cette personne arguant qu’ils font aussi du
synthétique, « le reste ne sont que des capuches en vraie fourrure, nous
ne faisons pas de manteaux, nous ! » déclare-t-elle, minimisant
l’ignominie qui en découle : animaux d’élevages chinois dépecés la
plupart du temps pleinement conscients, alors qu'il faut au moins 2 à 3
animaux pour la confection d’une seule capuche. Ce genre de garnitures
se retrouve en grand nombre dans les boutiques de prêt-à-porter en Union
Eur, beaucoup d’animaux ne sont pas même utilisés, cela génère alors
bien plus de massacres que pour les confections de manteaux qui, de
plus, se vendent de moins en moins et depuis plusieurs années déjà. En
outre minimiser la souffrance des animaux exploités pour des garnitures
face à ceux dépecés pour des manteaux n'est moralement pas acceptable.
La réaction de cette vendeuse relevant de sophisme laisse à penser que ces vêtements seront de nouveau commercialisés, et explique pourquoi nous n’avons pas reçu l’engagement par écrit de M. Yé.
De plus en plus de marques ou boutiques font le pas vers l'éthique, pour les animaux et l'environnement, comme vous pouvez le constater en consultant cette article : http://societe-anti-fourrure.blogspot.fr/2016/03/recapitulatif-des-victoires-du.html.
À l’heure où Giorgio Armani décide de cesser d’utiliser la fourrure animale, maintenant que nous savons combien celle-ci est polluante et dangereuse pour la santé à cause des produits chimiques,
alors que nous savons désormais faire de la belle et chaude fourrure
non-animale, ainsi que des vêtements chauds et isolants sans aucune
vraie ou fausse fourrure, il est temps que toutes les marques et
boutiques arrêtent de cautionner cette industrie obsolète.
Nous vous proposons alors de continuer à montrer à M. Yé et à
la boutique Kisly, en tant que client.e, en signant cette pétition, que
de plus en plus de consommateurs refusent d’acheter de la fourrure
animale.
Cette pétition est créée pour appuyer notre action sur la
Campagne France Sans Fourrure (les lettres postales ne sont donc pas à
négliger pour autant). Beaucoup d’entre vous sont mécontents de
ne pas recevoir de réponse à leurs courriers, nous vous conseillons
d’insister cordialement en précisant à nouveau que vous n’achèterez pas
dans cette boutique si ces articles sont à nouveau proposés dans
quelques mois.
Contact :
M. Yé, KISLY Sens, Z.C Chambertrand, 89100 SENS.
Tél : 03 86 95 25 66. Laissez sonner car les vendeuses peuvent mettre du temps à répondre. Nous
vous prions de rester cordiaux et calmes, afin de ne pas desservir
notre objectif, qui est le retrait de toutes les garnitures en fourrures
animales.
Le collectif Société Anti-Fourrure vous remercie pour votre
action, et vous invite à agir de façon hebdomadaire sur sa Campagne
France Sans Fourrure :
http://societe-anti-fourrure.blogspot.fr/2015/09/campagne-france-sans-fourrure-20152016.html ou https://www.facebook.com/events/762543757191112/?ref=1&action_history=%5B%7B%22surface%22%3A%22permalink%22%2C%22mechanism%22%3A%22surface%22%2C%22extra_data%22%3A%5B%5D%7D%5D
La pétition contre un élevage de Kazan émeut et soulève le débat !
Le collectif Société
Anti-Fourrure a partagé il y a quelques semaines une pétition à signer contre
une exploitation d’animaux à fourrure au Tatarstan. Son auteure a fait l’objet
d’un article et la pétition qui a mobilisé des centaines d’individus dans le monde
et d’associations, fait désormais débat dans ce territoire russe. Nous avons
traduit pour vous cet article.
Traduction de l’article de Kazan First, par le collectif Société
Anti-Fourrure. Version originale de l’article : https://kazanfirst.ru/feed/69109.
Les faits se
déroulent au Tatarstan, en territoire russe, dont la capitale est Kazan.
L’article
attire l’attention au sujet de l’exploitation d’animaux à fourrure par la
société Biruli, dans cette région, et de la mobilisation des militants pour la
protection animale en Europe, qui demandent la fermeture de cet élevage
d’animaux à fourrure. Une pétition a été lancée sur le site Change.org, que le
collectif Société Anti-Fourrure a notamment relayée, à la sollicitation de son
auteure, Julia Vrillaud. Cette pétition a pour but la liquidation de cette
entreprise pour maltraitance d’animaux destinés à devenir des manteaux de
fourrure. Elle s’adresse à monsieur Poutine et au président de la République du
Tatarstan, ainsi qu’au chef de la région en question et est écrite en trois
langues, russe, anglaise et française. Son auteure a fait des études de relations
internationales, travaille à l’ambassade de Hollande, en Ukraine, et vit à
Paris.
Julia Vrillaud
révèle que les animaux de cet élevage sont considérés comme de la matière pour
créer des manteaux de fourrure ; ils ne bougent pas, ne jouent pas avec
leurs congénères, ne sortent pas des cages, marchent sans cesse sur un sol
grillagé, sans paillage, et ne voient pas le soleil. L’entreprise tue les
animaux sur place, dans les cages et la cruauté infligée à ces êtres sensibles
n’est pas justifiée.
L’auteure de
la pétition déclare que les photos prises sur cet élevage ont horrifié les
organisations de protection animale internationales et les habitants de la
planète, justifiant un nombre important de signatures de la pétition.
D’après les informations de Kazan First, le 15 avril, des étudiants
de la faculté de l’Académie vétérinaire de Kazan ont visité l’élevage en
question. Ils ont vu des bébés zibelines dans les cages et certains ont pris
des photographies, qui ont circulées sur les réseaux sociaux. Spécifions toutefois
que la photographie issue du compte Instagram de Alsou Mingazina et prise le 15
avril, n’était pas soumise à un accord pour qu’elle soit utilisée dans la
pétition.
Les conditions
de vie de ces animaux sont cruelles, selon ces étudiants et bien que l’un des
étudiants interrogé pense que les exigences de la pétition sont difficilement
réalisables, il affirme en partager les idées.
Sur son site,
la société Biruli déclare s’être spécialisée dans la production de visons,
renards et zibelines, des animaux considérés par la société comme les plus
rentables. L’année dernière, la peau de zibeline valait 135 $ par pièce, cette
année elle en vaut 220. Les peaux sont vendues dans des ventes aux enchères à
Saint-Pétersbourg.
Cette société
est de plus en expansion car elle construit de nouveaux bâtiments pour
l’exploitation de nouvelles zibelines. Selon l’entreprise, actuellement, la
rentabilité est de 33 % pour les zibelines, les jeunes animaux survivent à 97 %
selon elle, tandis qu’elle exploite 3 types de visons (de 3 couleurs
différentes). La direction parle de bonnes conditions de vie, mais qui portent
principalement sur la nourriture, qui consiste en pommes, poissons, viande de
cheval et de bœuf, car, selon la société, la qualité et la santé de l’animal dépendent
de ce qu’il mange.
Cette
entreprise a été fondée en 1986-1987. Aujourd’hui, elle compte 1680 renards
argentés. Elle a débuté l’exploitation des zibelines en 1949 et compte
aujourd’hui 1650 femelles et 1530 mâles. L’élevage de visons commencé en 1948,
en comprend désormais 1700.
Ce n’est pas
la société la plus connue du Tatarstan. La dernière fois que les mass-médias on
parlé d’un élevage d’animaux à fourrure, était en 2015, lors d’un enquête
consistant à déterminer si l’entreprise respectait les lois face à ses
salariés. La société incriminée a été sommée de payer 500 employés, auxquels
elle devait leurs salaires d’avril-mai (la somme s’élevant à un montant de 11
500 000 roubles).
Le chiffre
d’affaire de l’entreprise s’élève à 335,6 millions de roubles, tandis que ses
bénéfices net représentent 48 millions de roubles.
Voici les
propos de Julia Vrillaud, recueillis par Marianne Fontaine, co-responsable du
collectif Société Anti-Fourrure :
« Les
propriétaires de cette manufacture ont découvert l'article et ce qu'ils écrivent est vraiment horrible. Ils
disent que […] leur manufacture représente beaucoup d’argent et ne sera jamais
fermée, que notre but est de discréditer la Russie. Et que nous, les Européens,
sommes jaloux de cette manufacture hors concurrence ! Ils ne disent pas même
une seule fois que ce sont des animaux vivants et sensibles ! Ne
mentionnent que "notre marque", "de l’argent", "nos
produits". Ils demandent également pourquoi nous avons décidé d'agir seulement
maintenant, alors qu'ils existent déjà depuis 60 ans. Ils pensent donc que notre
but est de les discréditer en tant que concurrent. Ils ne croient pas que les gens
puissent aimer des animaux et cherchent à éviter des souffrances à des êtres
sensibles, tandis que cette industrie est aussi très polluante et ne tue pas
que les animaux de l’élevage, mais aussi ceux utilisés pour nourrir les bêtes
encagées. Mais, en même temps, beaucoup de gens de Kazan
ont signé contre cette manufacture. J’espère qu’après que le collectif Société
Anti-Fourrure aura publié l’article à ce sujet, nous aurons de nouvelles signatures
de la pétition, pour affirmer que nous sommes nombreux à refuser la fourrure
animale. »
Julia Vrillaud
Le collectif Société
Anti-Fourrure espère que chacun entendra l’appel de Julia Vrillaud et des
animaux à fourrure exploités par cette industrie que nous savons violente,
polluante et dangereuse pour la santé de ceux qui y travaillent et de ceux qui
la portent. Si le public et les associations s'élèvent de plus en plus contre la fourrure animale, ce n'est pas pour discréditer des sociétés, mais bien parce que chacun.e est de plus en plus conscient.e.s que cette industrie comporte bien trop d'impacts négatifs pour être encore soutenable. Nous invitons celles et ceux qui ne l’auraient pas encore fait à signer la
pétition et vous informerons de la suite de cette action : stop-fur-farms-in-russia-мир-обращается-к-вам-с-просьбой-закрыть-фабрику-смерти-животных-ради-шуб-зао-бирюли
Inscription à :
Articles (Atom)
-
#SocieteAntiFourrure Campagne Mode Sans Animaux 2024/25 Cette dernière campagne Mode Sans Animaux aur...
-
Etam , début 2011 : La marque a été sensibilisée en 2011 et 2012 quant à la fourrure animale et, les deux...