mercredi 6 juillet 2016

Les animaux souffrent aussi en été ! Ne relâchez pas la pression sur les marques !



NE RELÂCHEZ PAS LA PRESSION AUPRÈS DES MARQUES DE PRÊT-À-PORTER PENDANT CETTE SAISON ESTIVALE : Les animaux destinés au commerce de la fourrure souffrent toute l'année dans les fermes d'élevage ; pour eux, alors que les vêtements à garniture sont rangés dans les placards, l'été ne changent rien. Leurs conditions de vie et de mort restent les mêmes, ils sont aussi confrontés à la chaleur dont ils ne peuvent se protéger dans leur cage exigües et grillagées ; il arrive d'ailleurs qu'ils meurent de chaud. Rappelons que plus nous convaincrons de marques d'en finir avec ce commerce sans nom, plus la demande reculera. En effet, toutes ces garnitures (capuches, cols) viennent de Chine, où de plus en plus d'élevages de chiens viverrins et de renards ont vu le jour à cause de la demande en Occident, où l'Union Européenne est le plus grand importateur des 95% des produits issus des peaux animales que la Chine exporte. Dans les années 1970-1980, la Finlande (qui est avec la Chine le plus gros producteur de fourrure au monde) a commencé a fournir des chiens viverrins à la Chine afin que son commerce de la fourrure s’accroît.

En Finlande, l'animal est électrocuté par l'anus avant le dépeçage, ce qui réduira à peine l'extrême douleur.

Voici un extrait du dernier Rapport sur le Commerce de la Fourrure en Europe qui en atteste (photos issues de ce rapport) : http://www.eurogroupforanimals.org/wp-content/uploads/2015/10/Case-Saga-Furs.pdf
"Selon les rapports sur l'industrie de la fourrure chinoise, le renard et le chien viverrin sur les fermes à fourrure chinoises peut être conservés dans des cages mesurant environ 90 (L) x 70 (W) x 60 (H) cm, l'équivalent de 0,63 m avec chacun des logements de un ou deux animaux. Ce qui veux dire que les cages en Chine contiennent trois fois moins d'espace et 14% (10cm) moins de hauteur prévue par les recommandations du Conseil de l'Europe"


Ajoutons à cela les tortures physiques et psychologiques endurées par les animaux, dénoncées par les enquêtes de Animal Equality dans plusieurs élevages Chinois début 2015 :
Animaux blessés, agonisants, à peine ou pas même abreuvés, nourris avec les restes de leurs congénères déjà morts, qui finiront par être dépecés pleinement conscients. Les enquêteurs d'Animal Equality ont dû assisté au cauchemardesque dépeçage d'une femelle chien viverrin vivante :
Vidéo : http://www.animalequality.net/node/681
 
Enfin, n'oublions pas que des chiens et chats torturés et tués pour être mangés en Chine sont victimes aussi du commerce de la fourrure. En effet, malgré l'interdiction d'importation au niveau de l'Europe en 2006, le trafic étant rentable et les contrôles douaniers inefficaces, les trafics perdurent. Ainsi ces capuches en fourrure animale étiquetées de manière litigieuse afin de ne pas choquer le consommateur avec le mot "chien" (le plus souvent aucune mention, ou encore "Raton laveur" alors que cet animal est très rarement exploité pour sa fourrure  découlent d’effroyables souffrances et de mort atroce.



C'est pourquoi nous vous demandons vivement d'insister auprès des marques et ce régulièrement, afin qu'elles prennent la décision de cesser d’utiliser les animaux pour leur commerce, comme plusieurs d'entre elles l’ont fait, grâce à la pression du collectif et du public.
Nous avons longtemps manifesté contre cette marque qui a ainsi arrêté de vendre de la fourrure animale :


D'autres encore :


Vous êtes nombreux à vous insurger auprès de notre collectif contre ces marques de prêt-à-porter, et nous vous conseillons de les contacter régulièrement pour leur signifier ce que vous nous dénoncez : que vous n'achèterez jamais chez elles, tant que ces marques n'arrêterons pas la vente de fourrure animale.

Derniers articles sur notre Campagne Facebook où nous vous expliquons comment et pourquoi contacter les marques, merci d'agir, votre action est importante :

Zapa, cible n°1 :


IKKS :



Burberry :



She :



Bel Air :



Zadig et Voltaire :



Gertrude :


123 :



Sud Express :
https://www.facebook.com/photo.php?fbid=1627617210896073&set=gm.864643046981182&type=3&ref=3&ref_newsfeed_story_type=regular&action_history=null



Redkins et Kaporal : 



LES ANIMAUX ONT BESOIN DE NOTRE SOUTIEN


Fourrure : ABOLITION !!

L'équipe du collectif Société Anti-Fourrure
notre page Facebook : https://www.facebook.com/Soci%C3%A9t%C3%A9-Anti-Fourrure-1 ;

notre Campagne France Sans Fourrure 2016 sur Facebook : https://www.facebook.com/events/762543757191112/?ref=3&ref_newsfeed_story_type=regular&action_history=null&source=3&source_newsfeed_story_type=regularnotre 
Campagne France Sans Fourrure 2016 sur ce blog : http://societe-anti-fourrure.blogspot.fr/2015/09/campagne-france-sans-fourrure-20152016.html
notre compte Twitter : @SocAntiFourrure

lundi 23 mai 2016

Les News de la renarde : Compte-rendu de distribution de tract mai 2016

Malgré le beau temps, des températures peu élevées et des averses ne favorisent pas la disparition des manteaux à garniture en fourrure. Il faut donc en profiter pour sensibiliser le public ! Ainsi, ce sont des individus qui n'en porteront pas l'année prochaine.

En effet, nous avons encore des réactions positives de personnes horrifiées d'apprendre la provenance et les conditions de vie des animaux à fourrure qui trônent sur les capuches.
Une maman avec un anorak a très bien réagit et a affirmé qu'elle n'aurait jamais acheté ce vêtement si elle avait su la cruauté qui en découle (comme souvent, il n'y avait aucune étiquette concernant la composition de la capuche, ressemblant fort à du poil de berger allemand).
Une jeune fille a également été très choquée d'apprendre qu'elle portait certainement du chien viverrin et a fait la grimace en voyant les photos de ces animaux exploités en Chine, afin de finir sur des capuches.
Une jeune femme qui portait un pompon en fourrure animale comme accessoire décoratif a été convaincue par nos arguments et les réalités de cette mode violente et polluante. Son amie possédait, elle, un accessoire du même type mais en fourrure synthétique, ce qui permettait de lui montrer que les alternatives existent, sont abordables et meilleures pour la planète, la santé et les animaux.
Plusieurs personnes lisent chaque jour avec attention nos sacs "Je ne porte pas de fourrure" et certaines nous ont accostées pour avoir des précisions au sujet des élevages de ces animaux, voire pour prendre des tracts et nos coordonnées.

Si ces bords de capuches sont toxiques, ce n'est rien en comparaison de ce que subissent les animaux (ils sont plus de 4 par seconde à succomber pour cette mode sans éthique). Ils sont dépecés la plupart du temps pleinement conscients, après avoir vécu une vie de misères physiques et psychologiques, dans une cage exiguë, à peine nourris (avec les restes de leurs congénères) et abreuvés, sans soins ni divertissements.

Pour eux, pensez à informer vos proches et les consommateurs qui portent de la fourrure animale.

Vous pouvez agir sur la Campagne France Sans Fourrure (sur Facebook ou sur le blog)
mais aussi nous contacter pour recevoir une formation à la distribution de tract.

Fourrure : abolition !



mardi 17 mai 2016

Pétition à l'encontre de la boutique Kisly de Sens, qui ne respecte pas son engagement

 pétition à signer :


Au 17 mai 2016, le collectif français Société Anti-Fourrure n'a toujours pas reçu la signature de sa charte anti fourrure de la part de Monsieur Yé, responsable de la boutique Kisly, à Sens.
Cela a été pourtant convenu par téléphone en mars 2016, suite au retrait des articles en vraie fourrure, grâce à la pression du public et de notre collectif (voir l'article : http://societe-anti-fourrure.blogspot.fr/2016/03/vers-une-victoire-de-taille-face-la.html). Nous craignions en effet que ces articles soient de nouveau mis en rayon lors de la prochaine collection automne hiver, c’est pourquoi nous avions convenu avec M. Yé l’envoi de cette charte, qu’il s’était engagé à nous retourner signée, disant qu’il ne comptait plus commercialiser d’autres fourrures animales. La boutique proposait à la vente vraies et fausses fourrures, mais faisait passer de la vraie fourrure pour de la fausse sur certains de ses présentoirs.

Les dernières informations reçues de la part d’une vendeuse très agressive au téléphone sont malheureusement contraires à la parole de M. Yé, cette personne arguant qu’ils font aussi du synthétique, « le reste ne sont que des capuches en vraie fourrure, nous ne faisons pas de manteaux, nous ! » déclare-t-elle, minimisant l’ignominie qui en découle : animaux d’élevages chinois dépecés la plupart du temps pleinement conscients, alors qu'il faut au moins 2 à 3 animaux pour la confection d’une seule capuche. Ce genre de garnitures se retrouve en grand nombre dans les boutiques de prêt-à-porter en Union Eur, beaucoup d’animaux ne sont pas même utilisés, cela génère alors bien plus de massacres que pour les confections de manteaux qui, de plus, se vendent de moins en moins et depuis plusieurs années déjà. En outre minimiser la souffrance des animaux exploités pour des garnitures face à ceux dépecés pour des manteaux n'est moralement pas acceptable.
La réaction de cette vendeuse relevant de sophisme laisse à penser que ces vêtements seront de nouveau commercialisés, et explique pourquoi nous n’avons pas reçu l’engagement par écrit de M. Yé.

De plus en plus de marques ou boutiques font le pas vers l'éthique, pour les animaux et l'environnement, comme vous pouvez le constater en consultant cette article : http://societe-anti-fourrure.blogspot.fr/2016/03/recapitulatif-des-victoires-du.html.

À l’heure où Giorgio Armani décide de cesser d’utiliser la fourrure animale, maintenant que nous savons combien celle-ci est polluante et dangereuse pour la santé à cause des produits chimiques, alors que nous savons désormais faire de la belle et chaude fourrure non-animale, ainsi que des vêtements chauds et isolants sans aucune vraie ou fausse fourrure, il est temps que toutes les marques et boutiques arrêtent de cautionner cette industrie obsolète.

Nous vous proposons alors de continuer à montrer à M. Yé et à la boutique Kisly, en tant que client.e, en signant cette pétition, que de plus en plus de consommateurs refusent d’acheter de la fourrure animale.

Cette pétition est créée pour appuyer notre action sur la Campagne France Sans Fourrure (les lettres postales ne sont donc pas à négliger pour autant). Beaucoup d’entre vous sont mécontents de ne pas recevoir de réponse à leurs courriers, nous vous conseillons d’insister cordialement en précisant à nouveau que vous n’achèterez pas dans cette boutique si ces articles sont à nouveau proposés dans quelques mois.

Contact :
M. Yé, KISLY Sens, Z.C Chambertrand, 89100 SENS.
Tél : 03 86 95 25 66. Laissez sonner car les vendeuses peuvent mettre du temps à répondre. Nous vous prions de rester cordiaux et calmes, afin de ne pas desservir notre objectif, qui est le retrait de toutes les garnitures en fourrures animales.

Le collectif Société Anti-Fourrure vous remercie pour votre action, et vous invite à agir de façon hebdomadaire sur sa Campagne France Sans Fourrure :


La pétition contre un élevage de Kazan émeut et soulève le débat !

Le collectif Société Anti-Fourrure a partagé il y a quelques semaines une pétition à signer contre une exploitation d’animaux à fourrure au Tatarstan. Son auteure a fait l’objet d’un article et la pétition qui a mobilisé des centaines d’individus dans le monde et d’associations, fait désormais débat dans ce territoire russe. Nous avons traduit pour vous cet article.


Traduction de l’article de Kazan First, par le collectif Société Anti-Fourrure. Version originale de l’article : https://kazanfirst.ru/feed/69109.


Les faits se déroulent au Tatarstan, en territoire russe, dont la capitale est Kazan.
L’article attire l’attention au sujet de l’exploitation d’animaux à fourrure par la société Biruli, dans cette région, et de la mobilisation des militants pour la protection animale en Europe, qui demandent la fermeture de cet élevage d’animaux à fourrure. Une pétition a été lancée sur le site Change.org, que le collectif Société Anti-Fourrure a notamment relayée, à la sollicitation de son auteure, Julia Vrillaud. Cette pétition a pour but la liquidation de cette entreprise pour maltraitance d’animaux destinés à devenir des manteaux de fourrure. Elle s’adresse à monsieur Poutine et au président de la République du Tatarstan, ainsi qu’au chef de la région en question et est écrite en trois langues, russe, anglaise et française. Son auteure a fait des études de relations internationales, travaille à l’ambassade de Hollande, en Ukraine, et vit à Paris.
Julia Vrillaud révèle que les animaux de cet élevage sont considérés comme de la matière pour créer des manteaux de fourrure ; ils ne bougent pas, ne jouent pas avec leurs congénères, ne sortent pas des cages, marchent sans cesse sur un sol grillagé, sans paillage, et ne voient pas le soleil. L’entreprise tue les animaux sur place, dans les cages et la cruauté infligée à ces êtres sensibles n’est pas justifiée.
L’auteure de la pétition déclare que les photos prises sur cet élevage ont horrifié les organisations de protection animale internationales et les habitants de la planète, justifiant un nombre important de signatures de la pétition.
D’après les informations de Kazan First, le 15 avril, des étudiants de la faculté de l’Académie vétérinaire de Kazan ont visité l’élevage en question. Ils ont vu des bébés zibelines dans les cages et certains ont pris des photographies, qui ont circulées sur les réseaux sociaux. Spécifions toutefois que la photographie issue du compte Instagram de Alsou Mingazina et prise le 15 avril, n’était pas soumise à un accord pour qu’elle soit utilisée dans la pétition.
Les conditions de vie de ces animaux sont cruelles, selon ces étudiants et bien que l’un des étudiants interrogé pense que les exigences de la pétition sont difficilement réalisables, il affirme en partager les idées.
Sur son site, la société Biruli déclare s’être spécialisée dans la production de visons, renards et zibelines, des animaux considérés par la société comme les plus rentables. L’année dernière, la peau de zibeline valait 135 $ par pièce, cette année elle en vaut 220. Les peaux sont vendues dans des ventes aux enchères à Saint-Pétersbourg.
Cette société est de plus en expansion car elle construit de nouveaux bâtiments pour l’exploitation de nouvelles zibelines. Selon l’entreprise, actuellement, la rentabilité est de 33 % pour les zibelines, les jeunes animaux survivent à 97 % selon elle, tandis qu’elle exploite 3 types de visons (de 3 couleurs différentes). La direction parle de bonnes conditions de vie, mais qui portent principalement sur la nourriture, qui consiste en pommes, poissons, viande de cheval et de bœuf, car, selon la société, la qualité et la santé de l’animal dépendent de ce qu’il mange.
Cette entreprise a été fondée en 1986-1987. Aujourd’hui, elle compte 1680 renards argentés. Elle a débuté l’exploitation des zibelines en 1949 et compte aujourd’hui 1650 femelles et 1530 mâles. L’élevage de visons commencé en 1948, en comprend désormais 1700.
Ce n’est pas la société la plus connue du Tatarstan. La dernière fois que les mass-médias on parlé d’un élevage d’animaux à fourrure, était en 2015, lors d’un enquête consistant à déterminer si l’entreprise respectait les lois face à ses salariés. La société incriminée a été sommée de payer 500 employés, auxquels elle devait leurs salaires d’avril-mai (la somme s’élevant à un montant de 11 500 000 roubles).
Le chiffre d’affaire de l’entreprise s’élève à 335,6 millions de roubles, tandis que ses bénéfices net représentent 48 millions de roubles.

Voici les propos de Julia Vrillaud, recueillis par Marianne Fontaine, co-responsable du collectif Société Anti-Fourrure :
« Les propriétaires de cette manufacture ont découvert  l'article et ce qu'ils écrivent est vraiment horrible. Ils disent que […] leur manufacture représente beaucoup d’argent et ne sera jamais fermée, que notre but est de discréditer la Russie. Et que nous, les Européens, sommes jaloux de cette manufacture hors concurrence ! Ils ne disent pas même une seule fois que ce sont des animaux vivants et sensibles ! Ne mentionnent que "notre marque", "de l’argent", "nos produits". Ils demandent également pourquoi nous avons décidé d'agir seulement maintenant, alors qu'ils existent déjà depuis 60 ans. Ils pensent donc que notre but est de les discréditer en tant que concurrent. Ils ne croient pas que les gens puissent aimer des animaux et cherchent à éviter des souffrances à des êtres sensibles, tandis que cette industrie est aussi très polluante et ne tue pas que les animaux de l’élevage, mais aussi ceux utilisés pour nourrir les bêtes encagées. Mais, en même temps, beaucoup de gens de Kazan ont signé contre cette manufacture. J’espère qu’après que le collectif Société Anti-Fourrure aura publié l’article à ce sujet, nous aurons de nouvelles signatures de la pétition, pour affirmer que nous sommes nombreux à refuser la fourrure animale. »

Julia Vrillaud


Le collectif Société Anti-Fourrure espère que chacun entendra l’appel de Julia Vrillaud et des animaux à fourrure exploités par cette industrie que nous savons violente, polluante et dangereuse pour la santé de ceux qui y travaillent et de ceux qui la portent. Si le public et les associations s'élèvent de plus en plus contre la fourrure animale, ce n'est pas pour discréditer des sociétés, mais bien parce que chacun.e est de plus en plus conscient.e.s que cette industrie comporte bien trop d'impacts négatifs pour être encore soutenable. Nous invitons celles et ceux qui ne l’auraient pas encore fait à signer la pétition et vous informerons de la suite de cette action : stop-fur-farms-in-russia-мир-обращается-к-вам-с-просьбой-закрыть-фабрику-смерти-животных-ради-шуб-зао-бирюли


L'élevage de visons d'Emagny condamné, le 6 mai 2016

    L'élevage de visons d'Emagny a été condamné le 6 mai 2016, après des années de mobilisation d'associations, mais surtout de l'association Combactive, qui luttait depuis plusieurs années contre cette exploitation en infraction.

« Au terme d’une heure de délibéré, le tribunal correctionnel de Besançon a condamné hier Eric Rauney, le propriétaire de l’élevage de visons d’Émagny à six mois de prison ferme. Une peine lourde qui s’inscrit dans une litanie de mises en garde, de recommandations de procédures et de condamnations commencées en 1998 déjà, quand il a monté son élevage de visons sans demander aucune autorisation. »
Catherine CHAILLET, L'Est républicain

Trois articles de presse relatant la victoire de l'Association Combactive :




    Parallèlement à cette bonne nouvelle, nous vous invitons donc à reprendre notre lettre type issue de la Campagne à l'adresse de nos députés pour soutenir la proposition de loi visant à restreindre les élevages en France. Vous pouvez compléter cette lettre-type par la conclusion de cette affaire-ci, pour envoyer à nouveau un mail ou une lettre à vos députés, qui ne répondent pas encore à nos lettres concernant la proposition de loi contre la fourrure animale en France. Pour cela, vous pouvez utiliser le visuel ci-dessus, pour envoyer par mail ou imprimer et coller sur vos enveloppes, afin que l'information soit immédiatement visible.
Rappel du lien vers l'article de la Campagne destinée aux députés français : http://societe-anti-fourrure.blogspot.fr/2016/04/campagne-pour-la-proposition-de-loi.html

Ensemble, nous faisons reculer la souffrance engendrée par le commerce de la fourrure animale,

Fourrure : abolition !